L'architecture du bonheur
architecture, bonheur, bien-être
<div>
<strong>Présentation de l'éditeur
:</strong>
<p style="margin-bottom: 0cm">
Depuis plusieurs livres déjà,
Alain de Botton s’intéresse à notre bonheur et
cherche les moyens de nous rendre plus heureux. Il y a d’abord eu
la lecture de Proust, puis celle des grands philosophes, l’art de
mieux voyager, l’importance de notre statut social. Voici
maintenant qu’il se penche sur notre cadre de vie et plus
particulièrement sur l’architecture des lieux où nous
vivons et travaillons. En quoi l’un et l’autre influencent notre
mode de pensée, notre façon de nous comporter, en un
mot notre existence au quotidien, tel est le vaste sujet de
L’architecture du bonheur.<br />
</p>
<p style="margin-bottom: 0cm">
Précisons tout de suite qu’il
ne s’agit nullement d’un livre austère et l’on rit
souvent. Certes, l’auteur fait preuve, comme toujours, d’une
éblouissante érudition, il a beaucoup voyagé,
beaucoup observé le monde et il nous entraîne de Paris à
Tokyo, de Londres à Brasilia, du Kent à l’Engadine et
bien d’autres lieux encore, à la recherche de la maison
idéale. Ses commentaires sur certains architectes sont très
drôles, sur le snobisme qui préside parfois au choix de
tel ou tel lieu de vie aussi.<br />
<br />
Photos en noir et blanc.
</p>
<p style="margin-bottom: 0cm">
<strong>L'auteur :</strong>
</p>
Alain de Botton est né à
Zurich en 1969. Il vit à Londres. Romancier, essayiste et
journaliste, il enseigne la philosophie à l’université
de Londres.
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</div>
Alain de Botton est né à
Zurich en 1969. Il vit à Londres. Romancier, essayiste et
journaliste, il enseigne la philosophie à l’université
de Londres.
,
,
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Mercure de France
septembre 2007
341
Ouvrage
Le Team X et le logement collectif à grande échelle en Europe
Team X, Team 10, logement collectif, architecture, Fayolle Lussac Bruno, Papillault Rémi
<div>
Un retour critique des pratiques vers la théorie<br />
<br />
<strong>Présentation par l'éditeur :</strong><br />
<br />
Ce qui caractérise le Team X est une tentative de synthèse entre les contraintes matérielles des programmes de logements collectifs à grande échelle, la volonté de prendre en compte les goûts des futurs occupants et le contexte local, mais aussi une exigence intellectuelle et une appartenance à l'avant-garde artistique. Sa dimension internationale l'inscrit dans le mouvement actuel de mondialisation des références, des modèles et des pratiques. <br />
<br />
Cet ouvrage offre une analyse critique de programmes de logements réalisés par des membres de ce courant dans les années 1950-70 en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas et en France, sous la signature d'Alison et Peter Smithson, Jaap Bakema, Georges Candilis, Alexis Josic et Shadrach Woods.<br />
<br />
Ancien enseignant de l’ENSAPB - Ecole d’architecture et du paysage de Bordeaux, <strong>Bruno Fayolle-Lussac </strong>est historien de l'architecture et chercheur associé à l’<a href="http://www.paris-belleville.archi.fr/page.php?d=ens&p=recherche&sp=ipraus_accueil" target="_blank">IPRAUS</a>, laboratoire de l’Ecole d’architecture de Paris-Belleville et de l’Université Paris X-Nanterre (UMR 7136).<br />
<br />
<strong>Rémi Papillault</strong> est architecte et urbaniste. Il est maître-assistant en espaces et territoire à l'<a href="http://www.toulouse.archi.fr/" target="_blank">Ecole nationale supérieure d'architecture de Toulouse</a>.<br />
<br />
Une <a href="index.php?option=com_content&task=view&id=1117&Itemid=222">exposition</a> sur le Team X a lieu jusqu'au 11 mai à la Cité de l'Archjitecture et du Patrimoine.<br />
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Bruno Fayolle Lussac
Rémi Papillault
,
,
Publications de la Maison des sciences de l'homme d'Aquitaine
Avril 2008
234
Ouvrage
La couleur dans la ville
couleur, art, architecture, Noury Larissa
<div>
<strong>Présentation par l'éditeur :</strong><br />
<br />
Dans les décennies d’après-guerre, la couleur semblait avoir déserté la ville. Aujourd’hui, elle retrouve pleinement son droit de cité et investit aussi bien les immeubles de logement que les bureaux, les équipements, et même les infrastructures de transport. <br />
<br />
Les architectes et les urbanistes la considèrent comme indispensable à la compréhension de l’espace urbain et à la qualité de vie des habitants, susceptible d’enrichir l’environnement en lui apportant lisibilité, rythme et perspective. <br />
<br />
Cet ouvrage dresse un panorama historique de la couleur dans le milieu urbain au cours du XXe siècle, avec des éclairages sur certains mouvements emblématiques tels que l’Art nouveau, l’avant-garde russe, le modernisme ou l’art cinétique. Il décrit ensuite les outils et les méthodes – gammes, palettes, nuanciers – qui permettent d’intervenir dans le paysage urbain avec rigueur et subtilité. Un certain nombre d’expériences, menées dans les domaines de la restauration chromatique du patrimoine urbain et de l’architecture contemporaine, retracent les démarches exemplaires de certains concepteurs. <br />
<br />
Depuis Jean-Philippe Lenclos, qui parcourt le monde pour constituer des « atlas de la couleur », au Centre de la couleur de Moscou, qui œuvre à l’échelle de la métropole tout entière, et jusqu’aux architectes comme Jean Nouvel ou Christian de Portzamparc, qui utilisent la couleur (et de plus en plus la couleur-lumière) comme un matériau à part entière, nombreux sont les acteurs qui montrent que la question de la couleur dans nos villes, loin d’être marginale, est aujourd’hui devenue centrale.<br />
<br />
<a href="http://www.larinoury.fr/" target="_blank">Larissa Noury Shakinko</a> est architecte coloriste et artiste peintre.<br />
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</div>
Larissa Noury
,
,
Le Moniteur
Mai 2008
168
Ouvrage
Quand l'architecture internationale s'exposait 1922-1932
architecture, exposition internationale, Nancy, Lurçat André, histoire, années vingt, Coley Catherine, Pauly Danièle
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Fondé en 1923 par un groupe de jeunes nancéiens séduits par la dynamisme culturel de la capitale, le Comité Nancy-Paris présente à Nancy en mars 1926 une exposition entièrement consacrée aux avants-gardes et dont la section d'architecture est confiée à André Lurçat. Les choix de Lurçat, à la fois engagés et opportunistes, sont représentatifs du nouveau courant moderne international, tel qu'il se manifeste, depuis le début des années 1920, dans les revues, conférences et expositions. L'ambition de cet ouvrage est de reconsidérer cet événement provincial et de déterminer sa place réelle dans l'histoire du mouvement moderne. Plus largement, il est question des modes de diffusion de l'architecture internationale dans les années 20.<br />
<br />
Nancy-Paris-Nancy, 1925-1926 Organiser une exposition d'architecture moderne : l'expérience d'André Lurçat à Nancy - Nancy 1926, une ville entre-deux - L'architecture nancéienne et le Comité Nancy- Paris, un rendez-vous manqué ? - Les modernes à l'exposition de 1925 et la critique - Après l'exposition de 1925, les avatars du Mouvement. Les liens tissés en Europe France-Allemagne-France : porosités et étanchéités 1918- 1930 - L'Autriche à l'exposition de Nancy et sa place dans l'avant-garde internationale des années 20 - Quand les modernes belges s'exposent : à propos de la présence de la Belgique à Nancy en 1926 - L'avant-garde tchèque en quête d'un public. Les supports de la diffusion L'exposition d'architecture : quelques remarques sur ses traces photographiques - Maquettes, l'architecture réduite à l'art - De l'image au plan : exposer l'architecture moderne selon Mart Stam. Les modes de diffusion parallèles Le film, nouvel outil de promotion - Les conférences : l'exemple de Le Corbusier - Les revues : esprit moderne et image graphique - La critique architecturale française face à l'architecture internationale - L'architecture ménagère sera moderne !</div>
</div>
Fage
15 février 2010
288
Ouvrage
Tunis, architecture et urbanisme d'hier à demain
Tunis, architecture, urbanisme, mutation urbaine, histoire, Mahmoud Abdesselem
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Cet ouvrage analyse les changements socio historiques et culturels de la trame urbaine et architecturale de Tunis de la période précoloniale à l'ère coloniale et post indépendance avec une prospective critique de l'avenir de la Métropole. Il ne s'agit pas d'une simple description des changements architecturaux et urbains dans leurs dimensions physiques, mais aussi d'analyses psychosociales des relations des usagers avec leur environnement urbain vécu et représenté. Les analyses mutations urbaines et architecturales sont illustrées de supports visuels variés en couleurs (cartes, photos, plans, diagrammes anciens et récents).<br />
<br />
Tunis est une ville plurielle, dont le cosmopolitisme se reflète en une fresque architecturale riche et éclectique en quête d’une urbanité durable. Elle est d'ailleurs une ville mémoire, miroir du vécu de ses usagers, ceux qui y résident, qui y passent, qui y interagissent et y laissent leurs empreintes.<br />
<br />
<b>Abdesselem Mahmoud</b> est Docteur de l'Université René Descartes-Sorbonne, Paris V, (1995), et enseignant chercheur en sociologie à l'Ecole Nationale d'Architecture et d'Urbanisme (Tunisie).</div>
</div>
Abdesselem Mahmoud
Centre de Publication Universitaire
(Tunisie)
Mars 2010
239
Ouvrage
Les carnets d'architecture de la Méditerranée d'Albert Laprade
Laprade Albert, architecture, Méditerranée, cosmopolitisme, colonisation, vingtième siècle
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b><br />
<br />
Plus de 3 000 croquis d'Albert Laprade<br />
<br />
Du Maroc au Portugal, de l'Espagne à la France, de l'Italie à la Turquie, en passant par la Croatie, la Serbie, l'Albanie et la Grèce, Albert Laprade a parcouru l'Europe méditerranéenne lors de nombreux voyages et séjours, dans la première moitié du XXe siècle. Un carnet en poche, il a réalisé des milliers de croquis, étudiant l'architecture caractéristique du bassin méditerranéen, accompagnant ses dessins de multiples notes manuscrites, dates et détails techniques en tous genres.<br />
<br />
Campanile de la place Saint-Marc à Venise, jardins de l'Alhambra à Grenade, Ménara à Marrakech,Vieux-Port de Marseille ou basilique Sainte-Sophie à Istanbul... Albert Laprade croque les façades des églises, des palais, des cloîtres, dessine les plans des jardins et des monuments, saisissant les détails d'un chapiteau, d'un porche ou d'une mosaïque.<br />
<br />
Au fil des pages se dessine une architecture aux influences multiples, témoignage de la richesse du bassin méditerranéen.</div>
</div>
Avant-propos de Vincent Barré, préface de Bruno Mengoli.</div>
</div>
Lire l'article sur Albert Laprade dans Wikipédia</a></div>
</div>
Albert Laprade
Kubik
30 octobre 2008
256
Ouvrage
Territoires, architecture et matériel au Levant
archéologie, Levant, Syrie, Jordanie, architecture, gestion des territoires, rites, sanctuaires
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
De nombreuses études sur la Syrie et la Jordanie sont menées par des doctorants d’universités françaises (Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Lyon, Aix-Marseille, Strasbourg), syriennes (Universités de Damas, Alep, Lattaquié) et étrangères (Barcelone, Rome, Londres, Gérone ...) dans le cadre de collaborations internationales. Le dynamisme des recherches sur la Syrie du Sud organisées par la Mission archéologique française en Syrie du Sud (MAFSS) et la Direction Générale des Antiquités et des Musées de Syrie (DGAMS) se traduit entre autres par le nombre de doctorants impliqués.<br />
<br />
Le travail sur le terrain, opérations archéologiques, relevés et études architecturales, prospections thématiques, inventaires épigraphiques occupe une place centrale dans ces études, permettant la production de données originales qui renouvellent les problématiques et les interprétations.</div>
</div>
Ces études sont réalisées en étroite collaboration avec la DGAMS et le soutien du Ministère des Affaires étrangères et européennes (MAEE).</div>
</div>
La table-ronde organisée par la Mission archéologique française en Syrie du Sud (MAFSS) en décembre 2011 a été l’occasion de réunir ces jeunes chercheurs travaillant sur la Syrie du Sud, auxquels se sont joints plusieurs autres travaillant dans d’autres régions de la Syrie et en Jordanie. Ils ont pu présenter leurs sujets, montrer l’avancée de leurs recherches et leurs résultats, et discuter avec l’ensemble des chercheurs travaillant sur la région. Les articles rendent compte de ces travaux novateurs.</div>
</div>
Amélie Le Bihan, Pierre-Marie Blanc, Frank Braemer, Jacqueline Dentzer-Feydy et François Villeneuve
Les Presses de l'IFPO
20 décembre 2012
Ouvrage
http://ifpo.revues.org/2809
Architecture et patrimoine
patrimoine, architecture
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b><br />
<br />
Faut-il rappeler qu'André Chastel, grand historien d'art, professeur au Collège de France, a aussi été l'un des chroniqueurs les plus en vue du journal Le Monde ? De 1945 à 1988, il y a publié plus de 1 500 articles ; on trouvera ici un choix de ceux qu'il a consacrés à l'architecture et au patrimoine. Ses articles savaient créer l'événement pour un public assidu, et ils contribuèrent puissamment à susciter une conscience patrimoniale en France. Dès les années de la Reconstruction et tout au long des Trente Glorieuses, on lit dans son action l'engagement d'un homme pour le patrimoine - n'est-il pas à l'origine de l'Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, créé en 1964 ? Toujours en alerte, c'est lui qui s'engage pour la sauvegarde de la villa Savoye, l'avenir des Halles, la restauration d'Avignon.<br />
<br />
À l'occasion du centenaire de sa naissance, la présente réédition rend de nouveau accessibles ces pages d'une écriture superbe, aussi précise qu'incisive, où se devine un sentiment profond d'appartenance au territoire. "L'amour se manifeste de façon instinctive dans la conscience des terroirs et de façon éclairée dans la démarche du savoir", écrivait-il en 1983.</div>
</div>
André Chastel
Eyrolles
14 juin 2012
239
Ouvrage
L'espace et le détour. Entretiens et essais sur le territoire, la ville, la complexité et les doutes
aménagement, analyse spatiale, architecture, espace urbain, mutation urbaine, paysage urbain, renouvellement urbain, territoire, entretien, histoire, philosophie, Corboz André, Tironi Giordano
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
<b>André Corboz</b>, historien de l’art et de l’architecture, mais aussi grand humaniste, est une figure exemplaire d’une culture transdisciplinaire, rigoureuse, indispensable à bon nombre d’acteurs intervenant notamment dans le territoire, dans le paysage et dans l’architecture.</div>
<br />
Ses travaux ont contribué à faire mieux avancer des aspects importants de la réflexion inhérente à ces domaines (sans oublier certains champs scientifiques et philosophiques), permettant d’élucider des questions cruciales et d’anticiper des problématiques afin de mieux les affronter. Sur le plan national et international André Corboz jouit d’une reconnaissance vaste ; ses livres ont reçu des prix significatifs aussi bien en Suisse qu’en France.</div>
<br />
L’essentiel du livre est constitué d’entretiens portant sur de nombreux thèmes qui reflètent les intérêts et les recherches d’André Corboz. Parmi ces thèmes nous pouvons relever la question des transformations des villes et des territoires dans le monde actuel, leur influence sur le paysage, mais aussi l’évolution de l’architecture, à l’aulne d’un regard historique mais aussi tourné vers le futur. Nous pouvons ajouter une grand nombre de problématiques inhérentes à la recherche et à ses enjeux dans un monde intellectuel et académique où elle a de moins en moins de place, l’importance de l’histoire et la perte de repères ; des sujets tels que la complexité croissante, les influences qu’un intellectuel subit et sa façon de les assumer, complètent ces réflexions. Au cours de ces entretiens, on relit également en filigrane les étapes principales de la vie et de la formation d’André Corboz.<br />
<br />
Le reste de l’ouvrage est constitué d’une introduction et d’une préface, de quelques essais d’André Corboz et de Giordano Tironi qui "interagissent" avec les thématiques des entretiens et en offrent des prolongements.<br />
Les entretiens sont richement illustrés (environ 450 illustrations en couleur, qui comprennent une quarantaine de photos inédites d’André Corboz de villes et de territoires) et sont également accompagnés d’une trentaine de planches thématiques avec des extraits de textes d’André Corboz.</div>
</div>
HEPIA</a>-Haute Ecole du paysage, d’ingénierie et d’architecture de Genève.</div>
</div>
André Corboz,
Giordano Tironi
L'Age d'Homme
4 juin 2009
293
Ouvrage
Habiter les aéroports : paradoxes d'une nouvelle urbanité
aéroport, mobilité, déplacements, art, architecture, représentations, Urlberger Andrea
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Les mobilités physiques se transforment actuellement en s'hybridant aux flux virtuels. Se déplacer permet de se connecter au monde, se connecter fait émerger une autre forme de déplacement. Cette convergence a un impact important sur le paysage et l'espace urbain dont la perception, l'usage, l'aménagement changent. Sa représentation n'est plus la même. Dans cette perspective, il existe des lieux où cette mobilité et cette connectivité sont très visibles, s'imposent comme la caractéristique du lieu, d'autres le montrent moins.<br />
<br />
L'aéroport occupe une position tout à fait particulière. Fonctionnel, monumental, déterminé par le mouvement des avions qui le relient à la globalité du monde, pénétré par les flux numériques sans lesquels aucun système de vol serait opérationnel aujourd'hui, l'aéroport se situe à l'interface entre différentes formes de déplacement. Il cristallise en même temps les sentiments les plus contradictoires, entre liberté de mobilité, intimité et surveillance. Sans forcément représenter la ville future, des convergences multiples opèrent à l'aéroport et produisent un espace qui semble à la fois paradoxal et exemplaire. C'est un noeud particulier dans ce qu'on pourrait définir par le terme "paysage technologique", c'est-à-dire un environnement qui se transforme et hybride espace physique et réseaux virtuels. Dissolution, instabilité.<br />
<br />
D'une extrême simplicité dans son fonctionnement, l'aéroport est de toute façon un lieu intrigant. La question est donc posée : comment l'aborder, comment le comprendre et comment le représenter ? Pour produire ces représentations, une recherche financée par la Dapa (Direction d'architecture et du patrimoine) dans le cadre du programme "L'architecture de la grande échelle" a mis en place des expérimentations qui s'inscrivent dans le champ artistique comme dans le champ architectural.<br />
<br />
A partir de ces expérimentations ponctuelles, des images et des savoirs ont émergé. Cette recherche initiale et collective entre art et architecture constitue le point de départ de ces textes sur les aéroports, une expérience en commun que partagent la majorité des auteurs et à partir de laquelle ils développent leur point de vue. Cette publication travaille en conséquence un double registre, des réflexions sur les liens entre art et architecture dans l'optique spécifique de la représentation des aéroports.</div>
</div>
<b>Andrea Urlberger</b>, docteure en esthétique, sciences et technologies des images, est maître-assistante en arts visuels à l’École nationale supérieure d’architecture de Toulouse.</div>
</div>
Andrea Urlberger (dir.)
Métis Presses
Juin 2012
120
Ouvrage
Vertical urbanism
vertical, gratte-ciel, architecture, bidonville, transport, jardin, occupation du sol, espace urbain, société urbaine, politique de la ville, Harris Andrew
<div><b>Organisers' description : </b></div>
</div>
The paper considers how contemporary cities are constructed, framed and understood through vertical axes and dimensions. It charts upward trajectories in not only iconic high-rises, but in vertical gardens, townships, slums and urban farms, and in modes and methods of urban transport. The paper argues that these vertical manifestations and domains of urban life are not simply a response to space constraints and land values but mark and make visible new forms of social and political power, which disrupt notions of centre-periphery in traditional, flatter models of the city. Although recognising the validity and relevance of highlighting and analysing spatial dichotomies between vertical and horizontal urban worlds, the paper seeks to complicate such binaries. Drawing on recent research from Mumbai, the paper explores and identifies overlapping (or vertizontal) connections, practices and assemblages in three-dimensional city-making.</div>
</div>
<b>Andrew Harris </b>is a Lecturer in Urban Studies and Geography at University College London.</div>
</div>
See also other lectures from this conference:</div>
Flight from modernity - aerial photography and the emergence of a social conception of space</a></div>
Vertigo: For a vertical turn in critical social science</a></div>
</div>
Andrew Harris
8 December 2010
http://backdoorbroadcasting.net/2010/12/andrew-harris-%E2%80%93-vertical-urbanism/
Les territoires saisis par le virtuel
espace urbain, espace virtuel, architecture, simulation, Rodionoff Anolga
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Si les théories urbaines actuelles constatent que l’espace physique se double de « l’espace » du virtuel mais sans le définir, cet essai contribue à le circonscrire, à le tenir à distance de la réalité concrète, tout en appréciant les mélanges de l’un et de l’autre. Comprendre l’urbain oblige dès lors à un regard qui fait la part belle aux liens et aux passages, et que les stoïciens ont théorisé dans leur physique. Un tel regard permet alors de se situer dans un monde de plus en plus complexe et de se repérer dans un environnement qui apparaît de plus en plus globalisé et sans limites.<br />
<br />
<b>Anolga Rodionoff</b> est maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université Paris VIII, habilitée à diriger des recherches, docteur en science politique de l’université Paris I-Panthéon-Sorbonne, architecte diplômée de l’École spéciale d’architecture.</div>
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Anolga Rodionoff
Presses universitaires de Rennes
28 juin 2012
178
Ouvrage
Les leçons du Grand Paris
, Grand Paris, architecture, urbanisme, métropole
<div><b>Présentation par le diffuseur :</b></div>
</div>
La compétition du Grand Paris a réuni 10 équipes d'architectes urbanistes associés à des chercheurs, françaises et internationales, qui ont fait des propositions pour le développement de la métropole parisienne. <br />
<br />
Ariella Masboungi, membre du comité scientifique, se propose de vous présenter les leçons de cette grande consultation, en termes de concepts et de guides pour construire durablement les métropoles de demain. <br />
<br />
Architecte-urbaniste en chef de l’Etat, Chargée de la mission "projet urbain" au Ministère de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de la Mer, Ariella Masboungi est professeur associée à l’Institut Français d’Urbanisme.</div>
</div>
Petites leçons d'urbanisme.</a></div>
</div>
Ariella Masboungi
12 janvier 2010
http://www.aurh.asso.fr/Sons/son-masboungi/37FR_SoundListPlayer_v01.swf
Organiser la ville hypermoderne - François Ascher, grand prix de l'urbanisme 2009
, urbanisme, François Ascher, ville hypermoderne, , architecture, aménagement, gouvernance
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
François Ascher (1946-2009) Grand Prix de l'urbanisme 2009, choisi à l'unanimité par un jury international, est inclassable. Il a su transférer les savoirs de tous les domaines, les féconder ainsi et offrir un regard renouvelé sur la ville. La liberté revendiquée par l'auteur pour les individus, les sociétés, et lui-même, lui a fait explorer cette ville multiforme, complexe et hétérogène. Il a appelé les acteurs de la ville à une attitude plus ouverte aux modes de vie, inscrite dans les flux et la mobilité, notamment au regard de la triple crise financière, environnementale et sociale. <br />
<br />
Esprit impertinent, François Ascher aura interpellé décideurs et professionnels pour doter cette ville hypermoderne d'une vision et d'un dessein afin de guider son aménagement sans céder à la tentation d'une forme de dirigisme qui a fait son temps, car la ville ne se décrète pas. Mais elle peut être conduite en restant à l'écoute des appétences sociales, du marché et des acteurs multiples qui la fabriquent. Il s'agit de mieux faire la ville pour tous et de consacrer autant de talent et d'énergie à toutes les formes qu'elle revêt, de la plus historique à la plus campagnarde, de la plus dense à la moins dense car cette dernière exige aussi de la sollicitude et de la qualité. Qualité de vie, liberté de mouvement, mais aussi responsabilité écologique peuvent se combiner grâce à des lotissements "verts", des modes de déplacement et d'énergie high tech, une vision du devenir territorial, qui appellent à une évolution des gouvernances.<br />
<br />
<b>Ariella Masboungi </b>est architecte urbaniste en chef de l'Etat, chargée de la mission Projet urbain auprès du directeur général de l'Urbanisme, de l'Habitat et de la Construction.</div>
</div>
Ariella Masboungi,
(Dir.)
Paranthèses
30 octobre 2009
128
Ouvrage
Renzo Piano : Penser la ville heureuse
architecture, urbanisme, Piano Renzo, ville heureuse, projet urbain, Masboungi Ariella
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b><br />
<br />
Penser la ville heureuse à l’heure où elle est promise au pires destinées, tel est l’enjeu magnifique que prône cet ouvrage, au travers des propos et des oeuvres d’un grand architecte, Renzo Piano. S’il ne se prétend guère urbaniste, le maître génois persiste élégamment dans une recherche perfectionniste du vivre ensemble et du plaisir d’être dans la ville.<br />
<br />
En interprétant son oeuvre et ses dires, maîtres d’ouvrage, compagnons de projets et critiques composent une sorte de puzzle expressionniste, en forme de guide pour une ville plus amène. L’ouvrage propose une promenade dans les oeuvres majeures de Renzo Piano, étudiées du point de vue de leur impact urbain, avec une attention particulière pour la Cité internationale de Lyon, une balise de qualité entre fleuve et parc, nouvelle polarité et pièce urbaine.<br />
Cet exemple illustre de façon exemplaire la continuité politique nécessaire à la concrétisation d’un projet urbain ambitieux, la créativité et le professionnalisme tenace de tous les intervenants, toutes conditions indispensables à la fabrication d’une ville heureuse.</div>
</div>
Ariella Masboungi,
(dir.)
Parenthèses
2 juin 2011
143
Ouvrage
Zoom sur Tel-Aviv
Tel-Aviv, Jaffa, Israël, histoire, utopie, croissance urbaine, urbanisme, architecture, société urbaine
<div><b>Présentation par le diffuseur :</b></div>
</div>
Rue Nahalat Binyamin à Tel-Aviv, pas loin du shouk ha-Carmel, le marché couvert de fruits, de légumes et d’objets hétéroclites, il y a deux petits vieux qui passent la journée assis sur leur balcon, à regarder la vie en bas. Au petit matin, ils voient les marchands de tissus qui s’agitent à la réception des rouleaux de textile, puis les conducteurs impatients qui remplissent l’air de leurs coups de klaxons et de leurs invectives. Enfin le soir venu, la rue déverse toute la jeunesse de la ville sur les trottoirs. Des dizaines de bars et de cafés se font concurrence dans toute la ville, attirant une clientèle enjouée et infidèle, toujours à la recherche des nouvelles tendances nocturnes de la métropole.<br />
<br />
Les deux petits vieux sur leur balcon sont à peine moins âgés que leur ville. Tel-Aviv célèbre cette année son centième anniversaire. Le rêve de ses fondateurs, qui l’ont appelée "colline du printemps"s était de construire la première cité hébraïque moderne, avec de l’électricité, des égouts, comme en Europe, disaient-ils. Ils ont choisi de la bâtir en bord de mer, éloignée de quelques centaines de mètres du port arabe de Jaffa.<br />
<br />
Aujourd’hui, la ville compte près de 400.000 habitants et son agglomération rassemble 3 millions de personnes, soit plus de la moitié des habitants du pays. Sa croissance continue d’attirer les nouveaux venus et elle se veut toujours un bastion de la modernité. Poumon économique d’Israël, centre de l’activité culturelle, Tel-Aviv a choisi de laisser la place aux idées et aux opinions. A 60 kilomètres de la chaste et compliquée Jérusalem, elle se veut un îlot de liberté, tolérant toutes les pratiques sociales et religieuses...</div>
Suite de l'article Tel-Aviv, un îlot entre Occident et Orient, par Aude Marcovitch</a>)</div>
</div>
<b>Reportages :</b></div>
</div>
Zoom sur Tel-Aviv (1/5) : de l’utopie des pionniers à la modernité : voyage dans l’espace et le temps</a><br />
<a target="_blank" href="http://urbanites.rsr.ch/blog/zoom-sur-tel-aviv-25/">Zoom sur Tel-Aviv (2/5) : Construire plus haut pour densifier le tissu urbain</a><br />
<a href="http://urbanites.rsr.ch/blog/zoom-sur-tel-aviv-55/" target="_blank">Zoom sur Tel-Aviv (3/5) : Jaffa : anciennes pauvretés, nouvelles richesses</a><br />
<a target="_blank" href="http://urbanites.rsr.ch/blog/zoom-sur-tel-aviv-45/">Zoom sur Tel-Aviv (4/5) : Des familles aux couleurs de l’arc-en-ciel</a><br />
<a target="_blank" href="http://urbanites.rsr.ch/blog/zoom-sur-tel-aviv-35/">Zoom sur Tel-Aviv (5/5) : rue Sheinkin, où religieux et laïcs cohabitent sans sourciller</a></div>
</div>
Aude Marcovitch
Novembre 2009
http://urbanites.rsr.ch/
L'habiter dans sa poétique première
Cerisy-la-Salle, Berque Augustin, de Biase Alessia, Bonnin Philippe, habiter, poétique, poésie, spatialité, temporalité, architecture, anthropologie, chorégraphie, géographie
<div><b>Présentation de l'éditeur :</b></div>
</div>
Le livre recueille les actes du colloque tenu à Cerisy-la-Salle, du 1er au 8 septembre 2006. Le point de départ est la phrase de F. Hölderlin que M. Heidegger a rendu fameux: "L'humain habite en poète".</div>
</div>
Cette idée, peu à peu diffusée, a fini par subvertir les dogmes fonctionnalistes du mouvement moderne en architecture. Une maison est davantage qu'une "machine à habiter" !</div>
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Ce "davantage" de l'habiter humain - sa poétique - il s'est agi d'en saisir la dynamique première dans certains de ses motifs privilégiés, la spatialité, la temporalité, la corporéité, la musique, la poésie..., à partir de ce qui la fonde : la Terre, à la fois comme planète et sol phénoménologique.</div>
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Cette poétique, c'est effectivement ce qui a peu à peu entraîné les participants et leurs spécialités diverses - architecture, anthropologie, chorégraphie, géographie, musique, informatique, peinture, littérature, cinéma - dans la synergie que favorisait le lieu.</div>
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Augustin Berque,,
Alessia de Biase,
et Philippe Bonnin
Donner Lieu
2008
410
Ouvrage
La politesse des maisons : Renée Gailhoustet, architecte
Gailhoustet Renée, architecture, urbanisme, logement social, banlieue populaire, habiter, Ile-de-France, vingtième siècle, Chaljub Bénédicte
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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<b>Bénédicte Chaljub</b>, elle-même architecte et plasticienne, présente l’œuvre originale de Renée Gailhoustet, protagoniste majeure et discrète de l’histoire récente du logement social, en particulier en banlieue parisienne.</div>
<br />
Retrouver le plaisir d’habiter dans la ville, favoriser la sociabilité en proposant un autre modèle éloigné des quartiers haussmanniens comme des grands ensembles – des terrasses, de la lumière, des volumes, etc. –, tels sont quelques principes des réalisations de l’architecte Renée Gailhoustet.</div>
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Bénédicte Chaljub
Actes sud
11 juin 2009
88
Ouvrage
Urbanisme et volupté. La France pavillonnaire enchaînée
pavillonnaire, banlieue, cadre de vie, règles d’urbanisme, imaginaire, urbanisme, architecture, ambiances, Kaleski Bernard, Poënces Erwan
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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Comment casser ce paradoxe qui fait que, depuis le milieu du XXe siècle, nos villes ne se développent généralement qu’à travers de ternes banlieues modelées par des règles d’urbanisme qui empêchent le renouvellement des voluptés architecturales des centres de nos cités anciennes ?</div>
<br />
Pourquoi accepter que toute une somme d’actes de la vie quotidienne soit étroitement réglementée dans une France pavillonnaire, dès lors enchaînée :<br />
- Refusant d’ouvrir la conception architecturale à toutes sortes de formes où vivre.<br />
- Obligeant à ne concevoir une maison que comme un palais figé au milieu de son parc : mais le palais est aujourd’hui réduit à la dimension de pavillon, mais le parc est aujourd’hui réduit à une bande de terrain de quelques mètres de part et d’autre de la maison, parfois un peu plus devant et encore un peu plus derrière.<br />
- Empêchant dès lors de recourir à l’originalité profonde de l’architecture qui est la conception d’espaces internes créant leur propre univers, permettant d’imaginer par exemple qu’une fenêtre puisse être un patio de 3x3 mètres ouvert seulement vers le ciel, fait de murs pour le calme et l’accord avec le climat local, fait de plantes pour les couleurs et les senteurs selon les saisons ?</div>
<br />
Cet essai est ainsi le constat d’un manque quasi généralisé d’imagination créatrice dans l’écriture des règles de l’urbanisme au quotidien et ce, bien que le code de l’urbanisme le permette.</div>
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Mais cet essai n’est pas que constat : il a surtout pour objet de reprendre la liberté de concevoir, pour les habitants, des architectures en recherche de volupté.</div>
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<b>Bernard Kaleski</b> est architecte et urbaniste.<br />
<b>Erwan Poënces</b> est géographe et urbaniste.</div>
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Bernard Kaleski,
Erwan Poënces
Apogée
Octobre 2010
144
Ouvrage
Qu'est-ce qu'habiter ?
habiter, habitat, logement social, philosophie, psychanalyse, architecture, Salignon Bernard
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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Liant philosophie, psychanalyse et architecture, Bernard Salignon interroge comment le concept d’habiter est au coeur de l’habitat, pensé non comme une réponse à un besoin d’abri mais comme une relation existentielle au monde. Il invite à penser l’habitation des hommes - forcément urbaine - comme l’événement éthique et esthétique qui ouvre à de possibles accords entre la demeure, la ville, la nature, le monde. Pour y parvenir sont requis le soin, l’attention et la bienveillance des décideurs et des concepteurs surtout s’ils oeuvrent pour le plus grand nombre soit dans le cadre de l’habitat social.</div>
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<b>Bernard Salignon</b>, philosophe, professeur d’esthétique, est directeur du département de psychanalyse et de l’équipe de recherche habilitée de l’Université de Montpellier.</div>
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Bernard Salignon
Editions de la Villette
9 septembre 2010
156
Ouvrage