Femmes dans la ville. Rabat : de la tradition à la modernité urbaine
Rabat, femmes, condition féminine, espaces publics, espaces privés, modernité, analyse de l'espace, sociologie urbaine, inégalités, genre
Quels sont les rapports qu'entretiennent les femmes marocaines avec leur ville ? Quelle est la place réelle qu'elles occupent dans les espaces public et privé ? Comment la ville de Rabat, capitale moderne, ouverte sur l'Occident porte-t-elle la modernité des femmes ?
Cet ouvrage se propose de répondre à toutes ces questions et il entend montrer l'évolution de la place des femmes à travers l'analyse de l'espace (la ville et le logement) tel qu'il est vécu, utilisé et pratiqué par les femmes. En effet, le contexte urbain révèle et reproduit les inégalités entre les sexes et nous montre comment chacun des deux sexes vit la ville à sa manière et s'y comporte selon les normes et les valeurs qu'elle lui dicte. Il est intéressant d'analyser la particularité de l'occupation et de l'organisation de l'espace par les femmes.
Il s'agit aussi d'explorer leurs actions et leurs compétences pour gérer l'espace domestique, leurs stratégies résidentielles et familiales et de voir les ressources ou les stratégies de contournement et de détournement auxquelles elles ont recours pour arriver à leurs fins, ainsi que les différents changements qu'elles inscrivent dans la vie sociale
Avec une préface de Sylvette Denèfle.
Safâa Monqid est sociologue et arabisante. Elle est maître de conférences à l’université Paris 3, Sorbonne nouvelle. Elle a été responsable du programme Femmes et ville au Centre d’études et de documentation économiques juridiques et sociales (Cedej) au Caire, entre 2008 et 2011.
Safâa Monqid
http://www.pur-editions.fr/detail.php?idOuv=3563
PUR
2014
238
FR
Ouvrage
L'usage de la ville par le genre : les femmes
usage de la ville, genre, urbanisme
Cette étude, initiée courant 2010, propose de mieux saisir l’enjeu républicain qui s’attache à la compréhension de l’usage de la ville par le genre. Il s’agit de déconstruire les représentations collectives qui présupposent que les usages urbains sont en général mixtes et peu différenciés entre hommes et femmes. En appliquant successivement le filtre du genre à l’étude statistique de la population, à l’écoute d’un panel de femmes et à la description de sites urbains, l’étude construit les bases d’une méthode jusqu’ici peu usitée en urbanisme.
a'urba
ADES-CNRS
a'urba
2011-06
178
FR
Rapport
http://www.aurba.org/Etudes/Themes/Populations-et-modes-de-vie/L-usage-de-la-ville-par-le-genre-les-femmes
La ville a-t-elle un sexe ?
genre, inégalités, espace urbain
Un Café-géo organisé à Tours par les associations Confluence, ESSPACES et l'Université Populaire de Tours le 16 novembre 2010.
L’espace urbain : miroir des inégalités homme/femme
Quarante ans après la révolution sexuelle, les rapports hommes/femmes restent marqués par d’importants déséquilibres au sein de la société voire par le maintien de profondes inégalités sociales. Si les femmes semblent avoir pu quitté en majorité l’espace cloisonné du foyer pour entrer de plein pied dans la vie professionnelle, la question de leur place dans la ville reste entière. Ainsi, les valeurs véhiculées par l’architecture, la place répartie entre les sexes dans l’espace public nous montrent notamment à quel point l’espace urbain est le reflet de rapports de domination encore très prégnants dans notre société. La ville des femmes est-elle la même que celle des hommes ? Comment se traduisent les rapports hommes/femmes au sein de l’espace urbain ? La manière dont la ville se fait et se pense est-elle sexuée ?
Avec Sylvette Denèfle, professeure de sociologie à l'université François-Rabelais de Tours.
Crévilles a pris en charge l’enregistrement et la mise en ligne de ce café géographique, avec une captation et un montage par le collectif de réalisateurs Sans Canal Fixe.
Sylvette Denèfle
Université Populaire de Tours
Confluence
ESSPACES
2010-11-16
01:45:00
FR
Enregistrement vidéo
http://www.universite-populaire-tours.fr/spip.php?article45
Gender and sociability in early modern London
women, femmes, gender, genre, London, Londres, voisinage, community, communauté, interaction sociale, société urbaine, lien social, Reinke-Williams Tim, sixteenth century, seventeenth century, seizième s!ècle, dix-septième siècle, histoire urbaine
<div><b>Seminar description from the <a href="http://ihrprojects.wordpress.com/2010/10/19/spot-newsletter-19-october-2010/" target="_blank">IHR Digital blog</a> : </b></div>
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Tim Reinke-Williams from the University of Northampton presented to the Metropolitan History Seminar group, a paper entitled ‘Gender and sociability in early modern London’. This paper examines women of the middling sort and labouring poor in relation to London neighbourhood communities of the sixteenth and seventeenth century. Reinke-Williams scrutinises this topic through neighbourliness, company and civility.</div>
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<b>Tim Reinke-Williams </b>is a Lecturer in History at the University of Northampton.</div>
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Tim Reinke-Williams
13 October 2010
http://www.history.ac.uk/podcasts/metropolitan-history/2010-10-13-Tim-Reinke-Williams
Tied up in Tehran : Women, social change and the politics of daily life
, urbanité, usage de la ville, identité, women, femmes, genre, gender, mutation sociale, politique de la ville, espace urbain, Tehran, Téhéran, Moruzzi Norma Claire
<div><b>Abstract from the distributor : </b></div>
</div>
Utilizing an interdisciplinary approach and based on extensive field work experience, the book project Tied Up in Tehran addresses one of the key paradoxes of contemporary Iran: women’s fragmented experiences of shaping a modern, urban identity in a postrevolutionary state that has explicitly Islamicized public institutions, space, and rhetoric, while also providing the conditions to enable women to emerge from the traditional private realm and engage actively as social and political agents. Although immediately after the 1979 Revolution the Iranian state tried to enforce a domestic, private, and religiously-defined traditional role for women, over subsequent decades both society and the state have become more accepting of women’s public participation in education, politics, and the workforce, and accustomed to their presence in mixed public spaces. Now, the argument in the Islamic Republic is not over whether women should be part of public life, it is over how they, and the youth of both sexes, should comport themselves as public and private citizens. In order to examine this gendered process of fundamental transformation within a highly politicized Muslim society and Islamic state, Tied Up in Tehran focuses on women’s public and private lives in the capital city, and the shifting dynamics of quotidian urban life: daily relations in the family, in the workplace, in the street, and on the body.</div>
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<b>Norma Claire Moruzzi </b>is Associate Professor of Political Science, Gender and Women's Studies, and History, and Director of the International Studies Program at the University of Illinois at Chicago.</div>
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Norma Claire Moruzzi
19 January 2010
http://www.uic.edu/cuppa/gci/whatwedo/eventsarchive/events0910/2010moruzzi.shtml
Welfare reform and social reproduction in New York City and Toronto
welfare, assistance sociale, genre, feminism, féminisme, néolibéralisme, union, syndicat, travail, gouvernance, société urbaine, service public, Black Simon, Toronto, New York
<div><b>Abstract from the distributor : </b></div>
</div>
Simon's research employs a feminist political economy lens to examine how state and civil society groups respond to, manage, and/or mediate crisis tendencies in social reproduction resulting from the neoliberal restructuring of welfare in two urban political economies - Toronto and New York. He is also interested in the theory and practice of community unionism, and organized labour's changing relation to the city and urban governance.</div>
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<b>Simon Black </b>is a PhD candidate in the Department of Political Science at York University.</div>
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Simon Black
4 March 2011
http://www.yorku.ca/city/?p=743
State, space and citizenship : Indian cities in the global era
, citoyenneté, droit à la ville, urbanisation, croissance urbaine, politique de la ville, espace urbain, gouvernance, société urbaine, genre, India, Inde, Benjamin Solomon, Vohra Paromita, Sundaram Ravi
<div><b>Organisers' description : </b></div>
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“State, Space and Citizenship” is the title of a year of thematic programming on key issues confronting Indian cities, beginning in January 2009. This is sponsored by the Center for South Asian Studies at the University of Michigan as a part of the Trehan India Initiative.<br />
<br />
The United Nations estimates that India’s urban population will nearly double to reach 586 million by 2030. This urbanization is taking place as the country grapples with the dramatic challenges and promises presented by economic liberalization and exposure to global flows of people, ideas, finance, investment, and media.<br />
<br />
The first Trehan India Initiative Theme Year at the University of Michigan will address how urbanization is transforming contemporary India socially, economically, politically, culturally, and environmentally. It will focus on three closely related areas of investigation:<br />
<br />
1. Transformations in urban politics and the role of the state in urban development<br />
2. Changes in the production of urban space<br />
3. Issues of citizenship and politics in the urban realm.</div>
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<b>Solomon Benjamin</b> is an assistant professor of political science at the University of Toronto. He was previously a consultant on urban development issues and an independent scholar based in Bangalore.</div>
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<b>Ravi Sundaram</b> is a fellow at the Centre for the Study of Developing Societies (CSDS), and a founding member of SARAI, a coalition of researchers that has had a major impact on contemporary scholarship on urban issues in India.</div>
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<b>Paromita Vohra</b> is a filmmaker and writer whose work plays with fiction and non-fiction to focus on ideas of gender, urban life and popular culture.</div>
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Solomon Benjamin,
Paromita Vohra,
Ravi Sundaram
23 January 2009
http://umtrehaninitiative.net/Lecture_Series.html
Le genre de l'immigration et de la naturalisation. L'exemple de Marseille (1918-1940)
Guerry Linda, genre, immigration, exclusion, discrimination, Marseille, discours, représentations
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
A la croisée de l’histoire des femmes et du genre et de l’approche renouvelée des politiques d’immigration, cet ouvrage interroge, dans la France des décennies 1920 et 1930 à travers l’exemple marseillais, le poids du genre dans l’exclusion et l’intégration des immigrants à différents niveaux : les discours et les représentations, les flux d’immigration et leur comptage, les politiques d’immigration, le marché du travail et l’acquisition de la nationalité française.</div>
</div>
L’analyse montre que le contexte économique, social, politique et démographique n’a pas les mêmes conséquences sur la mobilité, les parcours et la vie quotidienne des hommes et des femmes et qu’une analyse genrée est incontournable pour mieux comprendre la construction des États-nations et des citoyennetés.</div>
</div>
Préface de Françoise Thébaud</div>
</div>
Linda Guerry
ENS Lyon
2013
Ouvrage
L’école de la banlieue. L’enseignement féminin dans l’est parisien, 1880-1960
Duvignacq-Croisé Cécile, enseignement féminin, école, genre, banlieue, sud-est parisien, représentations
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Cette étude de l’enseignement féminin révèle l’élaboration des modèles éducatifs et des représentations du genre en banlieue. Elle souligne le rôle de l’école dans la codification du rôle social des femmes et de la place qui leur est attribuée dans l’espace de la cité. Elle offre aussi une grille de lecture renouvelée des rapports entre la capitale et ses banlieues. À travers les représentations qu’il véhicule, l’enseignement féminin souligne la pluralité sociologique du sud-est parisien et ses mutations sociodémographiques.<br />
<br />
Avec une préface de Florence Bourillon.<br />
<br />
<b>Cécile Duvignacq-Croisé</b>, professeure agrégée, enseigne l’histoire et la géographie dans l’académie de Créteil. Elle est associée aux archives départementales en tant que professeure-relais de la délégation académique à l’éducation artistique et à l’action culturelle. Sa thèse de doctorat a été récompensée par le prix de thèse de l’université Paris-Est en 2011.</div>
</div>
Cécile Duvignacq-Croisé
Presses Universitaires de Rennes
2013
360
Ouvrage
La Privatisation de Chicago. Idéologie de genre et constructions sociales
Gervais Laurence, Chicago, privatisation, espace public, genre, constructions sociales, revitalisation de l'espace public, gentrification, ségrégation
<div><strong>Présentation par l'éditeur :</strong></div>
<div> </div>
<div>Dans un environnement global où les villes sont en compétition les unes avec les autres, les autorités municipales de Chicago ont mis en place, depuis une vingtaine d’années, une politique de revitalisation des espaces publics du centre ville. Celle-ci promeut la privatisation des services, la déréglementation et les partenariats public-privé. Comme dans d’autres villes américaines, cette politique implique aussi parfois de l’interventionnisme à l’encontre des "indésirables" et induit des effets comme la gentrification. Se pose donc la question de l’accès à la ville et à ses espaces, qu’ils soient publics, semi-publics ou "publics-privés".</div>
<br /> Pour tenter de répondre à cette question, l’auteur a interrogé des chargés de développement à la mairie, des responsables du logement social à Chicago, des spécialistes de l’urbanisme et de la planification, des représentants d’associations de quartiers et des habitants des quartiers centraux. Beaucoup de chercheurs ont déjà écrit sur le lien entre statut social, appartenance ethnique et espace urbain. La thèse ici est que non seulement la classe et l’appartenance ethnique sont des catégories importantes pour expliquer qui a accès à la ville, et en particulier au centre-ville revitalisé et privatisé de Chicago, mais que la variable de genre, qui leur est étroitement liée, doit être prise en compte pour analyser les processus récents et complexes de transformation de l’espace public urbain.<br /> <br /> <strong>Laurence Gervais</strong> est professeure des universités en études américaines à l’université Paris Ouest – Nanterre – La Défense et membre du CREA (Paris X, EA 370, "Centre de recherches anglophones"), ainsi que du groupe de recherches MAPS (Paris‑Sorbonne, EA 4086, "Histoire et dynamiques des espaces anglophones"). Spécialiste de sociologie urbaine et de géographie culturelle, elle s’intéresse plus particulièrement aux questions liées à la construction des identités culturelles dans la ville américaine.
Laurence Gervais
<a href="http://pups.paris-sorbonne.fr/pages/aff_livre.php?Id=989" target="_blank">Sorbonne PUPS</a>
17 janvier 2013
190
Ouvrage
The Illegal City : Space, Law and Gender in a Delhi squatter settlement
bidonville, squat, quartiers informels, quartiers illégaux, genre, Delhi, Datta Ayona
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div> </div> The Illegal City explores the relationship between space, law and gendered subjectivity through a close look at an ‘illegal’ squatter settlement in Delhi. Since 2000, a series of judicial rulings in India have criminalised squatters as ‘illegal’ citizens, ‘encroachers’ and ‘pickpockets’ of urban land, and have led to a spate of slum demolitions across the country. This book argues that in this context, it has become vital to distinguish between illegality and informality since it is those ‘illegal’ slums which are at the receiving end of a ‘force of law’, where law is violently encountered within everyday spaces. This book uses a gendered intersectional lens to explore how a ‘violence of law’ shapes how ‘public’ subjectivities of gender, class, religion and caste are encountered and negotiated within the ‘private’ spaces of home, family and neighbourhood. This book suggests that resettlement is not a condition that squatters desire; rather something that is seen as the only way out of the ‘illegal’ city. The wait for resettlement is a temporal space of anxiety and uncertainty, where particular kinds of politics around law, space and gender takes shape, which transform squatters’ relations with the state, urban development, civil society, and with each other. Through their everyday struggles around water, sanitation, social and political organisation and the transformation of their homes and families, this book shows that the desire for the ‘legal city’ is also the irony and utopia of home, which will remain an incomplete gendered project – both for the state and for squatters.</div> </div> <b>Ayona Datta</b> is a Senior Lecturer in Citizenship and Belonging at the School of Geography, University of Leeds</div> </div>
Ashgate
Septembre 2012
202
Ouvrage
In the watches of the night: Life in the nocturnal city, 1820-1930
nuit, night, États-Unis, United States, histoire urbaine, nineteenth century, twentieth century, vingtième siècle, dix-neuvième siècle, urbanité, emploi, délinquance, transport, leisure, loisirs, gender, genre, Baldwin Peter C.
<div><b>Abstract from the publisher:</b></div> </div> Before skyscrapers and streetlights glowed at all hours, American cities fell into inky blackness with each setting of the sun. But over the course of the nineteenth and early twentieth century, new technologies began to light up streets, sidewalks, buildings, and public spaces. Peter C. Baldwin’s evocative book depicts the changing experience of the urban night over this period, visiting a host of actors—scavengers, newsboys, and mashers alike—in the nocturnal city.<br /> <br /> Baldwin examines work, crime, transportation, and leisure as he moves through the gaslight era, exploring the spread of modern police forces and the emergence of late-night entertainment, to the era of electricity, when social campaigns sought to remove women and children from public areas at night. While many people celebrated the transition from darkness to light as the arrival of twenty-four hours of daytime, Baldwin shows that certain social patterns remained, including the danger of street crime and the skewed gender profile of night work. Sweeping us from concert halls and brothels to streetcars and industrial forges, In the Watches of the Night is an illuminating study of a vital era in American urban history.</div> </div> <b>Peter C. Baldwin </b>is Associate Professor in the Department of History at the University of Connecticut.</div> </div>
Peter C. Baldwin
The University of Chicago Press
January 2012
296
Ouvrage
Tel-Aviv, the first century: Visions, designs, actualities
Tel-Aviv, Tel Aviv-Jaffa, Tel Aviv, Tel Aviv-Yafo, Jaffa, histoire urbaine, littérature, genre, gender, architecture, art, histoire de l'urbanisme, culture urbaine, développement urbain, Azaryahu Maoz, Troen S. Ilan
<div>
NC
Indiana University Press
November 2011
480
Ouvrage
Women's health and the world's cities
santé, health, gender, genre, women, femmes, urbanisation, environnement urbain, violence urbaine, politique urbaine, Meleis Afaf Ibrahim, Birch Eugenie L., Wachter Susan M.
<div><b>Abstract from the publisher:</b></div> </div> Growing urbanization affects women and men in fundamentally different ways, but the relationship between gender and city environments has been ignored or misunderstood. Women and men play different roles, frequent different public areas, and face different health risks. Women suffer disproportionately from disease, injury, and violence because their access to resources is often more limited than that of their male counterparts. Yet, when women are healthy and safe, so are their families and communities. Urban policy makers and public health professionals need to understand how conditions in densely populated places can help or harm the well-being of women in order to serve this large segment of humanity.<br /> <br /> Women's Health and the World's Cities illuminates the intersection of gender, health, and urban environments. This collection of essays examines the impact of urban living on the physical and psychological states of women and girls in Africa, Asia, Latin America, and the United States. Urban planners, scholars, medical practitioners, and activists present original research and compelling ideas. They consider the specific needs of subpopulations of urban women and evaluate strategies for designing spaces, services, and infrastructure in ways that promote women's health. Women's Health and the World's Cities provides urban planners and public health care providers with on-the-ground examples of projects and policies that have changed women's lives for the better.</div> </div> <b>Afaf Ibrahim Meleis</b> is Margaret Bond Simon Dean of Nursing and Professor of Nursing and Sociology at the University of Pennsylvania School of Nursing and the author of Theoretical Nursing: Development and Progress.<br /> <b>Eugenie L. Birch </b>is Lawrence C. Nussdorf Professor of Urban Research and Education and Chair of the Graduate Group in City and Regional Planning at the University of Pennsylvania School of Design.<br /> <b>Susan M. Wachter</b> is Richard B. Worley Professor of Financial Management and Professor of Real Estate and Finance at The Wharton School and Professor of City and Regional Planning at the University of Pennsylvania School of Design.</div> </div>
Afaf Ibrahim Meleis Eugenie L. Birch Susan M. Wachter
University of Pennsylvania Press
September 2011
328
Ouvrage
Engagements, rébellions et genre dans les quartiers populaires en Europe (1968-2005)
quartier populaire, engagement, rébellion urbaine, émeute, genre, mobilisations, politique publique, Europe, Béroud Sophie, Gobille Boris, Hajjat Abdellali, Zancarini-Fournel Michelle
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Ce livre fait le pari d’analyser en profondeur les rébellions urbaines sur la moyenne durée (de 1968 à 2005) et de croiser la question des engagements et du genre ce qui implique des approches comparatiste et pluridisciplinaire – histoire, science politique et sociologie sont ainsi convoquées - ainsi que jeux d’échelles – quartier, entreprise, ville, pays, espace européen.</div>
</div>
Ce qui pourrait apparaître à première vue comme une fragmentation, permet en réalité, tel un kaléidoscope, de recomposer des configurations en désenclavant les phénomènes de rébellions pour leur donner sens et de mettre en lumière la circulation des représentations, des pratiques, des modalités d’action d’un espace et d’une révolte à l’autre. Ainsi se dessinent les processus d’identification et les enjeux identitaires comme les processus d’association et de politisation dans les moments de rupture et de recomposition individuelle et collective.</div>
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<b>Sommaire :</b></div>
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<b>Rébellions urbaines et mobilisations</b><br />
A la frontière du politique ; action et discours des "jeunes de cité" de SOS Avenir, Minguettes (1981-1983)<br />
Les raisons de la colère ; sur l'émeute de novembre 2005<br />
Quand les jeunes d'un quartier populaire interprètent les émeutes urbaines<br />
<br />
<b>Genre et mobilisations</b><br />
Zaâma d'Banlieue (1979-1984) : les pérégrinations d'un collectif féminin au sein des luttes de l'immigration<br />
Des mobilisations de femmes en tant que femmes "racisées" : les militantes des mouvements Ni putes ni soumises et des Indigènes de la République<br />
Le loisir, moteur de la rébellion silencieuse des descendantes de l'immigration maghrébine dans les quartiers populaires en France<br />
<br />
<b>Quelles issues politiques et syndicales ? </b><br />
La destruction de la cité Olivier-de-Serres à Villeurbanne (1978-1984) ; Charles Hernu précurseur de la politique de la ville ? L'ethnicité en politique ; Eléments sur le rapport au politique des jeunes issus de l'immigration dans les quartiers populaires<br />
Jeunes et précaires dans l'action syndicale : modalités d'engagement et processus d'apprentissage<br />
<br />
<b>Perspectives européennes comparées</b><br />
Comment expliquer l'absence de violences urbaines en Allemagne ? Mise en perspective historique<br />
Les mutations des désordres urbains au Royaume-Uni au cours des trente dernières années<br />
De l'usine au quartier : les luttes sociales des immigrés et de leurs descendants en Belgique</div>
</div>
Sophie Béroud,
Boris Gobille,
Abdellali Hajjat,
Michelle Zancarini-Fournel,
(dir.)
Archives contemporaines
21 septembre 2011
221
Ouvrage
Les murs invisibles : femmes, genre et géographie sociale
femme, genre, pratiques citadines, urbanité, espace public, lieu public, Bordeaux, Di Méo Guy
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Comment les femmes se représentent-elles et vivent-elles la ville ? En fonction de quels critères, motivations, attraits, nécessités, précautions et même préventions se déplacent-elles ?</div>
<br />
S’intéresser aux représentations et aux pratiques citadines des femmes, Bordelaises en l’occurrence, tient ici à deux raisons. La première part du constat que les femmes, qui assument toujours la plus grosse part des tâches domestiques (espace privé), ont également investi, depuis plusieurs décennies, la sphère du travail rémunéré et de l’espace public.<br />
<br />
Il résulte pour elles, de cette double fonction, un rapport à la ville riche et complexe, qui fait du "deuxième sexe" celui de l’urbanité la plus accomplie. Cependant, l’expression même de "deuxième sexe" traduit une situation de domination que révèle bien le terme en débat de "genre". S’agit-il d’une domination masculine ? D’un phénomène plus large : patriarcal, familial, social ? Les femmes sont-elles victimes et/ou dans une certaine mesure, complices de leur situation de dominées ? Toujours est-il qu’elles ne font pas usage de la ville et de ses ressources dans une totale sérénité et liberté.</div>
<br />
Ce sont à ces limites, à ces "murs invisibles" qui bornent l’espace de vie des citadines que s’attache ce livre-enquête. En s’efforçant d’identifier et de comprendre la nature des relations que les femmes tissent entre leur intérieur (le logement, la maison) et l’extérieur, cet ouvrage tente d’expliquer le plaisir que certains lieux leur procurent et l’aversion qu’elles éprouvent pour d’autres. Il ressort de ce tableau des portraits d’une telle variété que la validité même de la désignation d’un groupe homogène de femmes est questionnée.</div>
</div>
<b>Guy Di Méo</b> est professeur à l’Université de Bordeaux III-Michel de Montaigne où il enseigne la géographie sociale. Il est membre de l’UMR 5185 ADES du CNRS.</div>
</div>
Guy Di Méo
Armand Colin
18 mai 2011
346
Ouvrage
Why loiter? Women and risk on Mumbai streets
Mumbai, femme, woman, genre, gender, feminism, féminisme, espace urbain, rue, marginalité, équité sociale, Inde, India, Phadke Shilpa, Khan Sameera, Ranade Shilpa
<div><b>Abstract from the publisher : </b></div>
</div>
Presenting an original take on women’s safety in the cities of twenty-first century India, Why Loiter? maps the exclusions and negotiations that women from different classes and communities encounter in the nation’s urban public spaces.<br />
<br />
Basing this book on more than three years of research in Mumbai, Shilpa Phadke, Sameera Khan and Shilpa Ranade argue that though women’s access to urban public space has increased, they still do not have an equal claim to public space in the city. And they raise the question: can women’s access to public space be viewed in isolation from that of other marginal groups? <br />
<br />
Going beyond the problem of the real and implied risks associated with women’s presence in public, they draw from feminist theory to argue that only by celebrating loitering—a radical act for most Indian women—can a truly equal, global city be created.</div>
</div>
<b>Shilpa Phadke </b>is Assistant Professor at the Centre for Media and Cultural Studies at the Tata Institute of Social Sciences, Mumbai, and an Associate at PUKAR - Partners for Urban Knowledge, Action and Research.</div>
<b>Sameera Khan </b>is a Mumbai-based journalist and writer who teaches journalism at the Tata Institute of Social Sciences, Mumbai.</div>
<b>Shilpa Ranade </b>is an architect and a partner in the Mumbai-based design firm DCOOP.</div>
</div>
Shilpa Phadke
Sameera Khan
Shilpa Ranade
Penguin Books India
February 2011
200
Ouvrage
Femmes et espaces publics en Arabie Saoudite
Riyad, Arabie Saoudite, femme, genre, espace public, ségrégation, Le Renard Amélie
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Thèse pour le doctorat en science politique de l'Institut d'Etudes Politiques de Paris soutenue sous le titre : S<i>tyles de vie citadins, réinvention des féminités. Une sociologie politique de l'accès aux espaces publics des jeunes Saoudiennes à Riyad</i>.</div>
</div>
Membres du jury : M. Gilles KEPEL, Professeur des universités (IEP de Paris) ; M. Michel KOKOREFF, Professeur des universités (Nancy 2) ; Mme Stéphanie LATTE ABDALLAH, Chargée de recherche au CNRS (IREMAM Aix- en-Provence) ; Mme Catherine MARRY, Directrice de recherche au CNRS (CMH-Paris), rapporteure ; M. Erik NEVEU, Professeur des universités (IEP de Rennes), rapporteur ; M. Ghassan SALAME, Professeur des universités (IEP de Paris), directeur de thèse.<br />
<br />
<b>Sommaire</b><br />
<br />
Introduction.<br />
<br />
Première partie. De la distinction nationale au discours de réforme : modèles de féminité et ségrégation(s) dans les espaces publics.<br />
Chapitre I. Ségrégation des sexes et discours de distinction nationale.<br />
Chapitre II. Discours de réforme et nouveaux espaces accessibles aux femmes.<br />
<br />
Deuxième partie. Négocier la ville en tant que jeune Saoudienne : coûts et modalités d'accès à des styles de vie mobiles.<br />
Chapitre III. Entre sécurité et respectabilité, l'invisibilité comme modalité paradoxale d'accès aux espaces urbains.<br />
Chapitre IV. Négocier une mobilité et en payer le coût.<br />
Chapitre V. L'activité professionnelle comme style de vie, la réalisation de soi comme objectif.<br />
<br />
Troisième partie. La société des jeunes citadines : interactions et identifications au sein des espaces partagés.<br />
Chapitre VI. Le développement d'une homosociabilité : dépasser la "discrimination" et le "racisme" ?<br />
Chapitre VII. Transgresser ensemble.<br />
Chapitre VIII. Style contre style : la performance de féminités consuméristes.<br />
<br />
Conclusion générale.</div>
</div>
Amélie Le Renard
Dalloz
23 mars 2011
Ouvrage
Women and the everyday city : Public space in San Francisco, 1890 - 1915
women, femmes, genre, San Francisco, dix-neuvième siècle, vingtième siècle, nineteenth century, twentieth century, espace public, histoire urbaine, géographie urbaine, histoire de l'architecture, Sewell Jessica Ellen
<div><b>Abstract from the publisher : </b></div> </div> Women in the city in turn-of-the-century San Francisco<br /> <br /> In Women and the Everyday City, Jessica Ellen Sewell explores the lives of women in turn-of-the-century San Francisco. A period of transformation of both gender roles and American cities, she shows how changes in the city affected women’s ability to negotiate shifting gender norms as well as how women’s increasing use of the city played a critical role in the campaign for women’s suffrage.<br /> <br /> Focusing on women’s everyday use of streetcars, shops, restaurants, and theaters, Sewell reveals the impact of women on these public places—what women did there, which women went there, and how these places were changed in response to women’s presence. Using the diaries of three women in San Francisco (Annie Haskell, Ella Lees Leigh, and Mary Eugenia Pierce, who wrote extensively about their everyday experiences), Sewell studies their accounts of day trips to the city and combines them with memoirs, newspapers, maps, photographs, and her own observations of the buildings that exist today to build a sense of life in San Francisco at this pivotal point in history.<br /> <br /> Working at the nexus of urban history, architectural history, and cultural geography, Women and the Everyday City offers a revealing portrait of both a major American city during its early years and the women who shaped it—and the country—for generations to come.</div> </div> <b>Jessica Ellen Sewell </b>is assistant professor of art history and American studies at Boston University.</div> </div>
Jessica Ellen Sewell
University of Minnesota Press
January 2011
280
Ouvrage
Utopies féministes et expérimentations urbaines
expérimentation urbaine, femme, genre, habitants, projet urbain, société urbaine, utopie, ville idéale, sociologie, Denèfle Sylvette
<div><b>4e de couverture :</b></div>
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Les villes modernes sont en apparence des lieux de liberté, de mixité que chacun utilise à sa guise. Les projets de ville sont projets de vie meilleure, voire de société nouvelle, souvent d’égalité.</div>
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Pourtant l’étude de leurs fondements historiques, de leurs évolutions, de leurs projets politiques montre que, tout en étant créatrices de pratiques nouvelles et porteuses d’innovation, les villes sont fondamentalement le reflet des normes sociales dominantes.</div>
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Et dans les sociétés actuelles, femmes et hommes n’avancent pas du même pas alors même que le Droit les y engage.</div>
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Comment ce dilemme s’est-il inscrit dans l’espace urbain ? Comment changer la vie en changeant la ville ? Comment rêver, projeter, réaliser des villes où règne l’égalité entre les habitants, citoyens et citoyennes ? Quels rêves d’égalité, de mixité, de séparation, de domination se sont inscrits dans l’espace des villes ? Quels projets ont été assez prégnants pour connaître des formes de réalisation ? Quelles utopies ont échoué sur la plage des chimères ? Quels temps ont porté des conceptions féministes assez fortes pour modifier les rôles de sexe, pour donner aux femmes une place d’individus à part entière ?</div>
<br />
C’est à partir de ces interrogations que nous avons porté attention aux dimensions féministes des expérimentations urbaines. Nous avons regardé les projets anciens et ceux qui sont expérimentés aujourd’hui pour comprendre comment les normes sociales de sexe s’affichent dans les villes, comment lieux et genres interagissent dans leur construction sociale simultanée, et pour saisir enfin la sexualité comme vecteur fondamental de l’utopie socio-urbaine.</div>
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<i>Utopies féministes et expérimentations urbaines</i> réunit des réflexions et des analyses sur la place des femmes et des hommes dans la ville et sur les projets urbains égalitaires, utopistes ou réalisés, qui veulent changer les rapports entre les sexes.</div>
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Maison des sciences de l'homme de Tours</a>.</div>
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Les quatres documents électroniques (au formats .ppt) annoncés dans cet ouvrage comme étant disponibles sur Crévilles sont téléchargeables ici :</div>
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Nathalie Fougeras : Rues et réseaux enjeu(x)</a></div>
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Elizaveta Bozhkova : Partnership for Building Women & Children Friendly City. Petrozavdosk City - Russia</a></div>
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Rien sans elles - Brest</a></div>
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Teresa Banaynal-Fernandez : Practices in Responsive Local Governance. Cebu City - Pilippines</a></div>
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Collectif
Presses Universitaires de Rennes
Décembre 2008
216
Ouvrage