Beijing. The New City
Beijing, Chine, urbanisation, urbanisme, gratte-ciel, architecture moderne, Santoro Carlo, Greco Claudio
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Présentation par l'éditeur :</strong><br />
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Over the past fifteen years Beijing has experienced unprecedented change-a change more dramatic and profound than ever before. Contemporary skyscrapers and architectural forms are gradually enclosing the historic city center. Steel and glass structures, constructions reminiscent of distant metropolises, highways, viaducts, and sports facilities have given Beijing a new face.<br />
<br />
Speed, combined with ever-changing rules and regulations, are the main characteristics of contemporary Beijing's transformation. Understanding this process means arranging intermediate and transitional phases into a logical sequence, in a historical and urban context of reference.<br />
<br />
The speed at which the city is changing means that the work site phase and the actual moment of transformation have become an integral part of project elaboration, thereby influencing and modifying its development. This state of sudden and seemingly chaotic evolution is nonetheless supported by an urban structure dating back thousands of years and by a well-defined past. It is essential to understand this in order to identify the continuity in the midst of change, which in itself seems to be the real essence of the city's evolution.<br />
<br />
<strong>Sommaire :</strong><br />
<br />
- Beijing,the contemporary metropolis<br />
- History of the city until the 1990s<br />
- 1992-2007 : the definitive turning point. Foundations and change<br />
- The new urban layout<br />
- New architecture<br />
- Emerging characters<br />
- Topographical maps<br />
<br />
<strong>Claudio Greco</strong> is Professor of Architecture and Architectural Composition at the Università degli Studi di Roma “Tor Vergata.” He works as an engineer and architect in the studio he founded in Rome in 1981 and in Beijing in partnership with the Chinese Academy of Sciences. He has conducted research and in-depth studies in Italy and China (the latter since 1994) on various topics, concentrating especially on the relationship between form and construction in architecture and between contemporary architecture and historical contexts as well as on the “masters” of the Italian modern architecture movement.<br />
<br />
<strong>Carlo Santoro </strong>received his Doctorate in “Architecture and Construction” from the Università degli Studi di Roma “Tor Vergata.” In 2001 he began working as an architectural designer and collaborating with Claudio Greco in Rome. Since 2003 he has been an architect and researcher at the Chinese Academy of Sciences in Beijing, where he is involved in various design and research programs on urban development.<br />
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Claudio Greco
et Carlo Santoro
,
,
Skira
19 mai 2008
272
Ouvrage
Vertical urbanism
vertical, gratte-ciel, architecture, bidonville, transport, jardin, occupation du sol, espace urbain, société urbaine, politique de la ville, Harris Andrew
<div><b>Organisers' description : </b></div>
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The paper considers how contemporary cities are constructed, framed and understood through vertical axes and dimensions. It charts upward trajectories in not only iconic high-rises, but in vertical gardens, townships, slums and urban farms, and in modes and methods of urban transport. The paper argues that these vertical manifestations and domains of urban life are not simply a response to space constraints and land values but mark and make visible new forms of social and political power, which disrupt notions of centre-periphery in traditional, flatter models of the city. Although recognising the validity and relevance of highlighting and analysing spatial dichotomies between vertical and horizontal urban worlds, the paper seeks to complicate such binaries. Drawing on recent research from Mumbai, the paper explores and identifies overlapping (or vertizontal) connections, practices and assemblages in three-dimensional city-making.</div>
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<b>Andrew Harris </b>is a Lecturer in Urban Studies and Geography at University College London.</div>
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See also other lectures from this conference:</div>
Flight from modernity - aerial photography and the emergence of a social conception of space</a></div>
Vertigo: For a vertical turn in critical social science</a></div>
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Andrew Harris
8 December 2010
http://backdoorbroadcasting.net/2010/12/andrew-harris-%E2%80%93-vertical-urbanism/
M@ppemonde numéro 99
gratte-ciel, tour, mondialisation, Paris, années soixante, années soixante-dix, Didelon Clarisse, Brunet Roger
<div><b>Sommaire</b> :</div>
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Les articles :<br />
- Clarisse Didelon, <i>Une course vers le ciel. Mondialisation et diffusion spatio-temporelle des gratte-ciel</i><br />
- Roger Brunet, <i>Les tours de Paris</i><br />
<br />
Lieux dont on parle :<br />
- Roger Brunet, <i>Défense ludique: la connexion russe</i><br />
- Paul de Sorbier, <i>Meeting de gratte-ciel. Une installation de Séverine Hubard</i><br />
<br />
Internet :<br />
- Denis Eckert, <i>Vidéos géolocalisées sur Internet</i><br />
<br />
Prix de thèse :<br />
- Denis Eckert, <i>Prix de Thèse de Mappemonde 2010</i></div>
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Collectif
NC
Novembre 2010
Revue
http://mappemonde.mgm.fr/num27/index.html
L'Invention de la tour européenne. The Invention of the european tower
immeuble de grande hauteur, gratte-ciel, habitat, histoire, urbanisme, architecture
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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Cet ouvrage est édité à l'occasion de l'exposition L'invention de la tour européenne créée par le Pavillon de l'Arsenal du 14 mai au 4 octobre 2009. <br />
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Les tours ont marqué le paysage urbain depuis l’Antiquité. Mais c’est au XXe siècle que les tours vont prendre une nouvelle dimension. La tour ou gratte-ciel, inventé à Chicago à la fin du XIXe siècle, un symbole de modernité et de puissance, dessinant la silhouette des villes américaines. <br />
Cette nouvelle hauteur habitée va mettre un certain temps à traverser l’Atlantique : entre les deux guerres, les réalisations sont rares : hormis le "quartier des gratte-ciel" de Villeurbanne, les tours restent à l’état d’architecture de papier.</div>
<br />
C’est après la Seconde Guerre mondiale que la typologie se diffuse : la reconstruction du Havre est l’occasion de développer de premiers grands immeubles que l’on verra se répandre largement dans le logement social. Des grands architectes construisent des tours lors de la réalisation de quartiers expérimentaux : à Berlin, Alvar Aalto, Le Corbusier et d’autres édifient des immeubles de grande hauteur. Viendront à Paris la construction de quartiers de tours intra et extra muros, avec La Défense, les quartiers d’Italie et de Beaugrenelle. Ces nouveaux morceaux de ville mettent en application des théories prônant une nouvelle répartition des fonctions urbaines et le recours à des sols artificiels, le fameux "urbanisme sur dalle".</div>
<br />
Aujourd’hui, à l’heure ou les problématiques du développement durable annoncent une révolution dans l’art de bâtir, les tours réapparaissent très fortement dans les villes européennes, et avec elles surgissent les débats autour de l’urbanisme qu’elles suscitent. Chaque ville aborde le problème à sa façon.</div>
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"L’invention de la tour européenne" veut montrer les multiples aspects que prend aujourd’hui cet objet architectural, et souhaite mesurer leur impact sur la ville. Comment construit-on les tours à l’étranger, comment s’organise le débat public autour de ces immeubles inhabituels, quelles sont les populations qui les habitent et les habiteront ? Les nouvelles tours seront-elles écologiques ? Autant de questions qui méritent d’être posées pour éclairer d’un jour nouveau un débat qui reste largement tributaire des échecs supposés ou réels des tours léguées par le "mouvement moderne".</div>
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<b>Sommaire :</b></div>
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Scénographie de l'exposition, par Manuelle GAUTRAND <br />
L’invention de la tour européenne, par Ingrid TAILLANDIER et Olivier NAMIAS<br />
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HISTOIRE ET INVENTIONS<br />
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Acclimatation d'un modèle, 1893-1945<br />
Européaniser une typologie venue d'Outre-Atlantique, par Ingrid TAILLANDIER <br />
La quête du monumental à travers les concours d'architecture de l'Entre-deux guerres, par Julie GIMBAL<br />
<br />
Essor de l'urbanisme vertical à Paris, 1945-1976<br />
L’urbanisme vertical : une affaire européenne <br />
Le "gratte-ciel n° 1", Beaugrenelle/Front de Seine, Italie, Flandres, La Défense, Montparnasse, Place des Fêtes, Crimée-Curial, par Olivier NAMIAS <br />
<br />
Chronique critique <br />
La tour apprivoisée <br />
Chronologie européenne, 1898-20.., par Jean-François POUSSE <br />
<br />
USAGES ET INNOVATIONS</div>
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Les tours, nouveaux villages ? par Jean-Louis VIOLEAU <br />
Formes habitables, par Soline NIVET <br />
Entre sol et ciel, par Ingrid TAILLANDIER <br />
Vers des gratte-ciel évolutifs, par Olivier NAMIAS <br />
Fonctionner avec les ressources naturelles, par Klaus DANIELS <br />
Pour une tour éthique, par Jean-Marc WEILL <br />
Un ouvrage d'art millimétré, par Jean-Marc JAEGER <br />
De l'igh à l'itgh, par Denis THÉLOT <br />
Une construction pérenne ? par Philippe SAMYN <br />
Tours et "re-tours", par Catherine SABBAH <br />
<br />
SKYLINE EUROPÉEN</div>
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Bruxelles, haute voltige, par Géry LELOUTRE <br />
Copenhague, hypothèses urbaines, par Jean-Pierre CHARBONNEAU <br />
Francfort et ses tours : une relation conflictuelle, par Kaye GEIPEL <br />
Londres, l'art dans les règles, par Peter BISHOP <br />
Madrid, de l'utopie à l'économie globale, par Manu RUBIO <br />
Milan, de Pirelli à la Fiera, la hauteur à l'honneur, par Cecilia BOLOGNESI <br />
Paris, la verticalité comme signe de renouveau, par Ingrid TAILLANDIER <br />
Rotterdam façonne son centre ville, par Martin AARTS <br />
Vienne, le hight-rise concept, une réussite durable, par Rudi SCHICKER</div>
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Collectif
Picard
27 mai 2009
437
Ouvrage
Des villes et des hommes : enquête sur un mode de vie planétaire
société urbaine, usage de la ville, innovation, bidonville, ghetto, pauvreté, grand ensemble, gratte-ciel, étalement urbain, Glaeser Edward
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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C'est un fait nouveau : depuis 2011, plus de la moitié de l'humanité vit dans les villes. L'espèce humaine est devenue une espèce urbaine, pour le meilleur et pour le pire : pour chaque 5e Avenue il y a un bidonville à Mumbai. Pourtant, la ville reste un incomparable moteur d'innovation et de création, un accélérateur de civilisation, qui attire la pauvreté davantage qu'elle ne la crée.</div>
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Telle est la conviction profonde d'<b>Edward Glaeser</b>, économiste de renommée internationale, fasciné depuis toujours par l'univers urbain et les mille questions qu'il pose : pourquoi des villes autrefois puissantes tombent-elles en ruine ? Comment se forment les ghettos ? Pourquoi certaines cités se développent-elles en hauteur et d'autres à l'horizontale ? Est-il vrai que la vie en ville rend plus malheureux ? Guidant son lecteur de New York à Bangalore, de Singapour à Vancouver, de Detroit à Rio ou de Paris à Tokyo, l'auteur mène l'enquête et fait la chasse aux idées reçues : la ville n'est pas moins écolo que la campagne, les gratte-ciel n'ont pas que des inconvénients, la préservation acharnée du Paris haussmannien est loin d'être un cadeau pour ses habitants, contraints à le déserter... Or, rien de pire qu'une ville-vitrine car la vraie cité est faite de chair, non de béton.</div>
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Edward Glaeser
Flammarion
28 septembre 2011
364
Ouvrage
Moscou
Moscou, Russire, URSS, histoire de l'architecture, histoire de l'urbanisme, régime soviétique, développement urbain, mondialisation, capitalisme, boom de l'immobilier, gratte-ciel
<div><b>Editorial de Gwenaël Querrien :</b></div>
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Depuis vingt ans - la fin du régime soviétique datant de 1991 -, le développement économique et urbain de Moscou est spectaculaire, dans la logique néolibérale de la mondialisation, avec son dynamisme mais aussi ses excès qui creusent la fracture sociale et génèrent de l'exclusion. Les nouvelles fortunes et les grands chantiers fleurissent.</div>
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Le boom de l'immobilier moscovite est sans précédent dans l'histoire de la capitale russe devenue une des villes les plus chères et les plus embouteillées du monde, le parc automobile ayant connu une croissance exponentielle, renforcée par le développement de l'habitat pavillonnaire hors la ville. Mais les bonds en avant les plus rapides sont aussi les plus fragiles en cas de crise. Celle en cours a mis un coup d'arrêt, après le krach de 2008, à de nombreux projets, certains signés de stars de l'architecture internationale, comme Norman Foster avec la Crystal Island et la Russia Tower.</div>
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Tours de bureaux, grands centres commerciaux (certaines enseignes occidentales sont déjà très implantées) et autres programmes d'envergure sont gelés en attendant des jours meilleurs. Seul le nouveau quartier d'affaires de Moscow-City - qui sera l'équivalent moscovite de La Défense pour Paris ou de la City londonienne - tire son épingle du jeu et ne subit qu'un ralentissement. Étant relativement peu dense, la ville peut se développer sur elle-même, tant par requalification de friches industrielles ou de délaissés que par densification des cœurs d'îlots traditionnellement vastes et dégagés. Le renouvellement urbain continue aussi à se faire par démolition et reconstruction, l'ancienne ville horizontale s'effaçant peu à peu au profit de gabarits plus hauts, d'autant que les voies sont plutôt larges.</div>
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La conservation du patrimoine n'est pas une préoccupation prioritaire, si ce n'est en termes d'image nationale à vocation touristique. Ainsi le façadisme (on ne garde que la façade principale) est une pratique courante comme aussi la reconstruction "à l'identique" (en apparence), voire imaginaire comme celle du palais Tsaritsino, sans craindre le kitsch ou la disneylandisation. Un important promoteur a même bâti une copie d'une des sept vyssotki, les fameux gratte-ciel staliniens qui rivalisent dans les esprits avec les historiques dômes bulbes pour identifier la ville.<br />
<br />
Malgré la crise, Moscou reste un pôle très attractif, tant au sein de la Fédération de Russie qu'à l'extérieur. Capitale du pays le plus vaste du monde, elle est "sujet" à part entière de la Fédération. Située au cœur de la Russie d'Europe, elle est à seulement 2 500 km de Paris mais à 9 100 km de Vladivostok sur le Pacifique. Elle est au croisement d'influences multiples, occidentales et extrême-orientales, caucasiennes et d'Asie centrale. Même si les gratte-ciel new-yorkais ont inspiré les vyssotki dans les années 1950, elle se développe aujourd'hui plutôt à la manière des villes asiatiques, les nouveaux milliardaires rêvant sans doute de Dubaï.</div>
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En considérant les villes dans leurs limites administratives, Moscou (1 060 km2, 10,5 millions hab.) est en quatrième position pour son chiffre de population après Bombay (11,9 millions hab.), Sao Paulo et Shanghai. Par contre, si l'on prend les chiffres de population des agglomérations, elle est 17e, avec 14,7 millions d'habitants (chiffres 2009), la 1re étant Tokyo avec 37 millions. Longtemps, le territoire de la ville a grandi au rythme de l'agglomération, ses limites administratives calquant la réalité de son développement sur le terrain.</div>
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Ce n'est que depuis 1991, avec l'avènement de la nouvelle organisation administrative de la Fédération de Russie et le rétablissement du droit de propriété privée du sol, sauf à Moscou même, que la ville intra-muros, restée dans ses limites de 1985, a été peu à peu dépassée par son agglomération. Aujourd'hui où la question du Grand Paris est au cœur de l'actualité en France, on voit à quel point les deux situations sont contrastées puisque la capitale française est restée, quant à elle, dans ses limites de 1840.</div>
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<b>Elizabeth Essaïan</b> est architecte et historienne de l'urbanisme. Elle enseigne aujourd'hui à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (Paris).</div>
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Elisabeth Essaïan
Cité de l'Architecture et du Patrimoine
Juin 2009
72
Autre
Zoom sur Shanghai
Shanghai, Asie, Chine, mégalopole, exposition universelle, Bund, Pudong, World Financial Center, gratte-ciel, Tian'anmen
<div><b>Présentation par le diffuseur :</b></div>
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A la fin de chaque mois, les Urbanités “zooment” sur une ville ayant valeur de laboratoire urbain dans le monde. Destination Shanghai cette semaine, où s’ouvre le 1er mai la 75e Exposition universelle. Cette exposition sera la plus grande, la plus chère, la plus ambitieuse de toutes les expositions universelles. La ville de Shanghai a déployé des efforts incroyables pour l’occasion. Elle a construit le plus gros hub de transport au monde, un nouveau terminal d’aéroport, des centaines de kilomètres de voies de métro et d’autoroutes, elle a démoli et rebâti des quartiers entiers. Le plus symbolique d’entre eux est sans aucun doute celui du Bund, le long de la rivière Huangpu, avec ses grands immeubles coloniaux, témoins du formidable essor de la ville dans les années 20 et 30. Le Bund brille d’un tout nouvel éclat, complètement rénové, et doté d’une statue en bronze, une réplique du taureau que l’on peut voir à New York sur Wall Street. Le même artiste a livré celui de Shanghai, mais il l’a fait deux fois plus grand que son petit frère américain. Et la bête fait face - de l’autre côté de la rivière - à la nouvelle cité de Pudong, les 101 étages du World Financial Center et autres gigantesques gratte-ciel. Il s’en est construit 4000 ces 20 dernières années.</div>
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<b>Reportages :</b></div>
Zoom sur Shanghai (1/5) : la démesure des villes chinoises</a><br />
<a target="_blank" href="http://urbanites.rsr.ch/blog/zoom-sur-shanghai-25-slogan-et-impasse-de-l%E2%80%99exposition-universelle/">Zoom sur Shanghai (2/5) : slogan et impasse de l'Exposition universelle</a></div>
Zoom sur Shanghai (3/5) : un si petit pavillon suisse</a></div>
Zoom sur Shanghai (4/5) : de la première Exposition universelle de Londres à celle de Shanghai, un curieux mimétisme<br />
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Zoom sur Shanghai (5/5) : l'Exposition universelle de Tian'anmen</a></div>
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Emissions radio
Avril 2010
http://urbanites.rsr.ch/
Vues de New York (1860-1920)
Townsend Gabrielle, New York, urbanisme vertical, ville verticale, gratte-ciel, images, représentations, photographie
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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Cet ensemble de vues de New York, rassemblées et commentées par Gabrielle Townsend, déjà auteur d'un John Singer Sargent et d'un Winslow Homer chez le même éditeur, relate l'irrépressible métamorphose d'une ville passant de la traditionnelle horizontalité urbanistique à une stricte verticalité, soutenue en cela par les progrès fulgurants d'une technologie importée par les architectes et les constructeurs venus de la vieille Europe.<br />
<br />
La Liberté éclairant le monde ou statue de la Liberté, conçue par le français Auguste Bartholdi avec la collaboration de l'architecte Eugène Viollet-le-Duc et de l'ingénieur Gustave Eiffel, inaugurée en 1886, en demeure un des premiers et un des plus flagrants exemples. Il faudra soixante ans à la Ville de New York pour se dresser et s'élever vers une architecture dont le gratte-ciel sera la norme, au service essentiel du commerce et de la concurrence.<br />
<br />
Dix ans plus tard, Ferdinand Bardamu, personnage central du Voyage au bout la nuit de Louis-Ferdinand Céline, aura cette formule lapidaire : "New York, c'est une ville debout".</div>
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Gabrielle Townsend
Bibliothèque de l'image
15 mars 2013
96
Ouvrage
Chicago 1910-1930 : le chantier de la ville moderne
Chicago, reconstruction, architecture, urbanisme, développement urbain, gratte-ciel, occupation du sol, Castex Jean
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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Si le grand incendie de 1871 vient un temps interrompre son essor, il permet de penser une reconstruction de la ville selon des critères modernes. Ainsi naît l'école d'architecture de Chicago, véritable laboratoire d'expériences architecturales avec le premier gratte-ciel à armature d'acier. Capitale du crime organisé lors de la Prohibition, Chicago prospère néanmoins et n'en finit pas de se transformer pour prendre, durant les années 1930, son aspect actuel.<br />
<br />
Entre 1910 et 1930, la rivière va voir son cours remodelé et permettre ainsi le développement du « Loop », ce quartier d"affaires et de commerces qui constitue le cœur même de la ville. Mais ce centre manque d’espace constructible, il va falloir construire sur les énormes voies de chemins de fer qui ont fait sa prospérité, bref inventer du sol à bâtir. Ainsi naissent les rues à étages qui vont rapidement être bordées d’immeubles aux caractères novateurs et proposant des cohabitations d’activités inattendues comme un opéra logé dans un bâtiment d’affaires. Une telle mixité d’activités entraîne des prouesses d’invention que seule l’alliance d’ingénieurs et d’architectes permettent. Ces travaux de voiries, d’urbanisme et d’architecture annoncent et anticipent les transformations advenues aux autres villes depuis lors y compris en ce 21 siècle naissant (Paris, quartier de Massena autour de la Bibliothèque F. Mitterrand).</div>
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<b>Jean Castex</b>, architecte, docteur en urbanisme et aménagement, directeur scientifique du LADRAUS, enseigne l’histoire de l’architecture à l’école d’architecture de Versailles.</div>
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Voir la note de lecture de cet ouvrage publiée par Claude Massu dans la vie des idées.fr le 15 novembre 2010</a></div>
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Jean Castex
Editions de la Villette
28 mai 2009
400
Ouvrage
Vertigo : For a vertical turn in critical urban social science
vertical, espace urbain, architecture, sciences politiques, culture urbaine, gratte-ciel, souterrain, subterranean, Graham Steve
<div><b>Organisers' description : </b></div>
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This wide-ranging, synthetical paper offers a cross-cuang view of a range of emerging research on the politics of verticality which appertain to contemporary urban spaces. Arguing that critical urban social science has long neglected the vertical aspects of urban life, the paper seeks starting points for a vertical turn within such research through engaging with recent research in architecture, political theory and cultural studies on the intersections of architecture and contemporary colonial power, the profusion of skyscrapers and subterranean architectures, and the proliferation of vertically-organised sensors and targeting and imaging systems within security, military and cultural circuits. These emerging developments are connected with earlier discourses on the politics of vertical architecture, aeriality and the vertical view within urban studies, architecture, cartography and geopolitics. The paper finishes with a reflection on the challenges of addressing the politics of verticality and aeriality within critical urban social science.</div>
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<b>Steve Graham </b>is Professor of Cities and Society at the Global Urban Research Unit at Newcastle University.</div>
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See also other lectures from this conference:</div>
Flight from modernity - aerial photography and the emergence of a social conception of space</a></div>
Vertical urbanism</a></div>
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Steve Graham
8 December 2010
http://backdoorbroadcasting.net/2010/12/steve-graham-%E2%80%93-vertigo-for-a-vertical-turn-in-critical-urban-social-science/
La folie des hauteurs. Pourquoi s'obstiner à construire des tours ?
construction, gratte-ciel, immeuble de grande hauteur, Paquot Thierry
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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Le monde compte 15 000 tours de plus de 200 mètres. Les architectes et les ingénieurs rivalisent d’audace pour édifier la plus haute construction, et certains évoquent même la hauteur record de 1 600 mètres ! La tourellite aiguë touche nombre d’agglomérations urbaines, de Shanghai à Moscou, de Londres à Dubaï…<br />
<br />
Il est grand temps de réagir. Cessons d’enfermer des milliers de citadins dans des tours de bureaux ou d’habitations. Ces "prisons" transparentes imposent par leur verticalité un seul mode de déplacement (le coûteux ascenseur) et des contraintes innombrables. Et elles font disparaître ce qui est l’âme même des villes : les rues et les places, les parvis et les jardins.<br />
<br />
Mêlant information technique et réflexion philosophique, Thierry Paquot nous raconte l’histoire de l’ascenseur, rend visite aux architectes des premiers gratte-ciel (Le Baron Jenney, Sullivan, Hood…), s’attarde sur la personnalité de Le Corbusier, examine les propositions pour Paris et conteste les arguments des partisans des tours qui soutiennent trois contrevérités : la tour améliore la densité, elle est écologique et favorise la mixité sociale ! Il faut que la folie des hauteurs cesse ! Pour bâtir mieux et non pas plus (et encore plus haut !) et promouvoir des quartiers à la "haute qualité existentielle".</div>
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Métropolitains</a>, France Culture).</div>
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Nonfiction.fr</a>.</div>
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Thierry Paquot
Bourin
9 octobre 2008
240
Ouvrage
The making of Hong Kong : From vertical to volumetric
Hong Kong, gratte-ciel, histoire de l'urbanisme, forme urbaine, développement urbain, densité urbaine, Shelton Barrie, Karakiewicz Justyna, Kvan Thomas
<div><b>Abstract from the publisher : </b></div> </div> This book investigates what the history of Hong Kong’s urban development has to teach other cities as they face environmental challenges, social and demographic change and the need for new models of dense urbanism.<br /> <br /> The authors describe how the high-rise intensity of Hong Kong came about; how the forest of towers are in fact vertical culs de sac; and how the city might become truly ‘volumetric’ with mixed activities through multiple levels and 3D movement networks incorporating ‘town cubes’ rather than town squares.</div> </div> <b>Barrie Shelton </b>is Associate Professor of Urban Design in the Faculty of Architecture, Building and Planning at the University of Melbourne.<br /> <br /> <b>Justyna Karakiewicz </b>is Associate Professor of Urban Design in the Faculty of Architecture, Building and Planning at the University of Melbourne.<br /> <br /> <b>Thomas Kvan</b> is Professor and Dean in the Faculty of Architecture, Building and Planning at the University of Melbourne.</div> </div>
Barrie Shelton Justyna Karakiewicz Thomas Kvan
Routledge
November 2010
184
Ouvrage
Detroit : city on the move
Detroit, Jeux Olympiques, gratte-ciel, urbanisation, Amerique du Nord, années 60
Un petit film documentaire visant à valoriser la ville de Détroit, qui concourrait alors pour organiser les Jeux Olympiques de 1968.
Promotional film made for the City of Detroit, an unsuccessful bidder for the Olympic Games. With views of city highways, automobile manufacturing, a diverse population, and social activities, all shot prior to the city's economic decline.
Handy Jam
Internet Archive
1965
00:18:12
EN
Vidéo
http://www.archive.org/details/DetroitC1965
New York
New York, métropole, gratte-ciel, modèle urbain, histoire urbaine, projet urbain, architecture, Cohen Jean-Louis
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div> </div> Malgré l’explosion des grandes métropoles asiatiques - entre autres -, New York reste aujourd’hui la référence incontournable d’une modernité urbaine symbolisée par Manhattan et ses bouquets de gratte-ciel dont la fine fleur date des années 1930 ; un modèle qui a essaimé aux quatre coins du monde et que l’on n’a pas dépassé, sinon en altitude et en performances thermiques. On en oublie que c’est loin d’être la forme architecturale dominante dans l’ensemble de la ville où les immeubles s’égrènent à diverses hauteurs et où les maisons individuelles s’étalent en nappes interminables dès que l’on quitte l’hyper-centre.<br /> <br /> Fondée en 1624 – c’est alors Nieuw Amsterdam -, la ville de New York va se constituer à partir de centres multiples, la ville de Brooklyn notamment ayant été établie par les Néerlandais en 1646. La géographie de l’île et de la baie favorise sa vocation commerçante jamais démentie. Dès le XIXe siècle, c’est une métropole industrielle et commerciale à l’échelle mondiale, grâce au développement intense des réseaux maritimes, fluviaux et ferroviaires qui investissent tous les rivages de la baie, de l’Hudson et de l’East River. Premier port de la planète dans la première moitié du XXe siècle, elle cédera ensuite le leadership à Rotterdam, et depuis 2003 à Shanghai et à Singapour. La ville, qui compte aujourd’hui 8,3 millions d’habitants, a réuni dès 1898 ses cinq boroughs actuels : Manhattan, Brooklyn, le Bronx, le Queens et Staten Island. Elle est très cosmopolite, comme tous les grands ports mais plus encore du fait d’importantes vagues d’immigration successives d’origines variées, 37% de ses habitants actuels étant nés hors des USA. Quant à l’agglomération, qui s’étend sur 17.400 km2 et compte près de 19 millions d’habitants, elle s’inscrit sur quatre États : New York, New Jersey, Connecticut et Pennsylvanie.<br /> <br /> Ville en chantier perpétuel, New York ne panse pas seulement les plaies du World Trade Center et ne se contente pas d’ajouter de nouvelles tours sur son échiquier. Le développement de projets à l’échelle paysagère est sans doute un des aspects les plus intéressants de son renouvellement lors de cette dernière décennie, telle la désormais célèbre High Line mais aussi d’autres espaces, hérités de friches ou de délaissés industrialo-portuaires, qui offrent l’occasion de respirations accueillantes à de nouvelles pratiques urbaines.</div> </div> <b>Jean-Louis Cohen</b> est architecte et historien de l'urbanisme contemporain, professeur à l'université de Paris VIII et à New York University.</div> </div>
Cité de l'architecture et du patrimoine
Juin 2010
80
Autre