Ville visible Ressources cachées
ville visible, ville invisible, ressources cachées, système, densité, climat, énergie, nature
Une livraison de la revue Paris projet (N° 41-42, juillet 2013)
Ville visible, Ressources cachées, ce numéro 41/42 de Paris Projet, explore les richesses et les interactions de la ville du dessus et du dessous, de la ville visible et invisible. Ce vaste sujet ouvre un nouveau chapitre de l’histoire de la revue et réunit, autour des analyses de l’Apur, des contributions extérieures, et en particulier les résultats de l’Appel à contributions lancé par la Ville de Paris sur le thème des ressources cachées.
En posant les bases d’une meilleure adaptation de la ville au regard des enjeux présents et futurs, densité, climat, énergie, nature, sans oublier le rôle joué par le facteur humain, cette publication considère et analyse la ville comme un système pour lequel il convient d’établir de nouvelles règles du jeu.
Collectif
http://www.apur.org/paris-projet/ville-visible-ressources-cachees
Atelier parisien d'urbanisme (Apur)
2013-07
247
FR
Livraison de revue
Ville visible, ville invisible
ville visible, ville invisible, , espace urbain, mobilité, centralité, Boissonade Jérôme, Guevel Solenn, Poulain France
<div><b>Présentation par l'éditeur :<br />
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Quelles sont les nouvelles conditions de légitimité de la ville aujourd'hui ?<br />
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La césure visible / invisible, qui constitue le fil rouge de ce livre, était conçue au départ comme un simple outil heuristique. Elle s'est révélée particulièrement pertinente pour saisir les contours du travail des uns pour légitimer leur présence dans la ville et de celui des autres pour légitimer la ville comme idéal (démocratique, d'urbanité...). <br />
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L'exemple habituel de SDF expulsés des centres-villes parce que trop visibles, relève alors d'un enjeu beaucoup plus vaste qu'une simple régulation sécuritaire de l'espace urbain. Cet exemple est en fait symptomatique de notre difficulté à appréhender l'urbain à l'heure de la marchandisation des espaces, de la confirmation des centralités périphériques, et des mobilités exacerbées.<br />
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Quelles sont donc les nouvelles figures susceptibles de nous permettre de comprendre et de représenter ces villes à la fois visibles et invisibles ? C'est à cette question que les jeunes chercheurs rassemblés ici ont essayé de répondre, en lançant des pistes originales qui sortent le plus souvent des lieux communs de la recherche urbaine académique.<br />
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<b>Jérôme Boissonade</b> est maître de conférece à l<a href="http://www.univ-littoral.fr/" target="_blank">'Université du Littoral</a> et architecte.<br />
<b>Solenn Guevel</b> est architecte, enseignante à l<a href="http://www.paris-belleville.archi.fr/" target="_blank">'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Paris-Belleville</a> et rattachée au laboratoire <a href="http://crevilles.org/mambo/index.php?option=com_content&task=view&id=87&Itemid=106">IPRAUS</a>.<br />
<b>France Poulain</b> est docteur en aménagement, en urbanisme et en études urbaines, architecte et urbaniste d'Etat.</div>
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Collectif
L'Harmattan
Octobre 2008
188
Ouvrage