Présentation par l'éditeur :
Beaucoup de jeunes d'origine maghrébine issus des "cités" travaillent, contrairement aux idées reçues, et la majorité d'entre eux occupe un emploi, souvent précaire, trois ans après leur sortie du système éducatif, malgré les discriminations. Le marché du travail ne reconnaît pas leurs diplômes, en leur assignant des postes non qualifié ou peu qualifiés. Ces jeunes paraissent surreprésentés dans les professions de l'animation de quartier et du secteur social, ce qui semble constituer une alternative au destin ouvrier, permettant d'oeuvrer en faveur des leurs.