Là-bas fait des petits à Saint-Denis
Chao Antoine, Saint-Denis, Le Franc-Moisin, Stade de France, jardins ouvriers, lycéens, stigmatisation, représentations, langage, radio, son
<div><strong> Un reportage </strong><strong> diffusé dans <a target="_blank" href="http://www.radiofrance.fr/franceinter/em/labassijysuis/">Là bas si j'y suis</a> de Daniel Mermet<br />
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Ici au Franc Moisin, aujourd’hui, il y le Stade de France, des jardins ouvrier, le fort de l’Est, des cités et le lycée Suger. Depuis septembre, Antoine Chao a animé un "atelier radio" avec les lycéens et des élèves du Bts audiovisuel de ce lycée. Des semaines de travail pour une initiation au langage radiophonique, une formation critique aux medias dans un quartier où on ne les aime pas forcément, un apprentissage du son...<br />
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Destination Suger !<br />
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Les lycéens : Stephy Sompa, Marissa Decampe, Nawal Bassim, Sonia Ben Dhasen, Mohamed Bassim, Ibrahim Hanafi, Zachary Saghadaoui, Souhail Ben Radhia, Massiany et Marinata<br />
Maxime Hammer, John Sainturat et Maxime Beaudet du Bts audiovisuel option son<br />
Et Aurélie Gigot, Pascal Stoller, Pierre Cuturello, Hyppolyte Courty et Igor Dolley Kawabata</div>
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</strong> <strong>Ecoute et Podcast :</strong><br />
<p align="justify">Comme pour toutes les émissions de France Inter, les émissions de Là-bas si j'y suis peuvent être écoutées sur son site jusqu'à la diffusion de la prochaine émission. <br />
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<strong> Heureusement, le site non officiel de Là-bas si j'y suis, <a target="_blank" href="http://www.la-bas.org/">www.la-bas.org</a> , conserve et offre à tous les enregistrements de toutes les émissions de Daniel Mermet sous tous les formats audios possibles. <br />
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<p align="justify"><strong>Il propose également un service de podcast de Là-bas si j'y suis. Merci aux animateurs de ce site !<br />
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Antoine Chao
2 avril 2010
http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1900
Casquettes contre képis. Enquête sur la police de rue et l'usage de la force dans les quartiers populaires
Boucher Manuel, quartiers populaires, quartiers défavorisés, violence urbaine, police, forces de l'ordre, maintien de l'ordre, stigmatisation, racisme, sociologie urbaine, Paris, Saint-Denis, Marseille
<div><strong>Présentation par l'éditeur :</strong></div>
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<div>Dans un contexte de détérioration voire de rupture des relations entre les habitants des zones urbaines défavorisées et la police, souvent accusée d'être arbitraire, brutale, raciste (contrôles au faciès), voire corrompue, ce livre traite des relations tumultueuses qu'entretiennent les forces de police avec la population des quartiers populaires.</div>
<br /> Durant deux années, Manuel Boucher et son équipe ont mené une enquête de terrain sur le discernement policier dans plusieurs territoires stigmatisés comme "sensibles" et dangereux par les forces de l'ordre à Paris, Saint-Denis et Marseille. Cette recherche inédite montre, notamment, que la mobilisation récurrente, souvent disproportionnée, de "l'habilitation spécifique à l'usage de la force" de la police nationale favorise le développement d'une "police de guerre" au détriment d'une "police de paix", conférant alors une rupture relationnelle entre une partie de la population, dont beaucoup de jeunes, et les représentants de l'ordre républicain, en particulier les patrouilleurs de rue.<br /> <br /> L'originalité de cet ouvrage repose également sur la prise en compte des représentations mutuelles de policiers et d'habitants. Il dépasse ainsi les approches idéologiques et convenues de la question policière dans les quartiers populaires généralement proposées et développe une vison nouvelle et complexifiée des relations entre la police et la population. Il apporte aussi des pistes de solutions pour combattre le processus de défiance réciproque entre la police et les citoyens.
Manuel Boucher (Dir.)
<a href="http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=40062" target="_blank">L'Harmattan</a>
Avril 2013
456
Ouvrage
Ville-Monde
anthropologie, urbanité, altérité, habiter, gated communities, sécurité, bidonville, pauvreté, Windhoek, Barcelone, Johannesburg, Buenos Aires, Belo Horizonte, Saint-Denis
<div><b>Présentation par l'éditeu</b>r :</div>
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Mettant en évidence les discontinuités conceptuelles et la mise en crise des catégories des sciences sociales mobilisées pour penser la ville, Alain Bertho plaide pour une anthropologie de la ville monde. Car ce qui se joue aujourd’hui, au coeur des affrontement urbains contemporains, c’est bien l’intellectualité de la ville, sa nouvelle figure anthropologique où se télescopent sans cesse des processus et des enjeux transnationaux et des enjeux de micro territoires.</div>
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<b>Sommaire du n° 16 de Socio-Anthropologie<b> :</b></b></div>
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Alain Bertho<br />
Penser la "ville monde"<br />
<br />
Christophe Sohn<br />
De l’urbanité post-apartheid à Windhoek (Namibie). Entre permanence et changement, une mutation par l’hybride<br />
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Alexandra Hache<br />
Barcelone : projets urbains globaux et revendications territoriales<br />
<br />
Claire Bénit<br />
La suburb, l’enclosure et l’ Etat. Logiques sécuritaires et dynamiques politiques dans les quartiers aisés de Johannesburg<br />
<br />
Nathalie Puex<br />
Le monde selon Juanito ou la cosmologie du monde selon les habitants d’une Villa Miseria<br />
<br />
Laurence Kundid<br />
Le programme Bolsa Escola à Belo Horizonte<br />
<br />
Stephan Anfrie<br />
De la "ville rouge" à la "ville monde"<br />
<br />
Varia<br />
Anna Dimitrova<br />
Le "jeu" entre le local et le global : dualité et dialectique de la globalisation<br />
<br />
Marie Goyon<br />
La relation ethnographique : une affaire de genres</div>
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Alain Bertho,
(dir)
Université de Nice
2005
Revue
http://socio-anthropologie.revues.org/index423.html