The challenges of the twenty-first century city
, gouvernance, politique urbaine, droit à la ville, développement urbain, développement durable, étalement urbain, gestion locale, twenty-first century, vingtième siècle, Ruble Blair, urbanité
<div><b>Organisers' description :</b></div>
</div>
Cities are becoming larger, more diverse, more fluid, and less manageable than in the past. Beyond the obvious issues of infrastructure management, transportation, telecommunications, poverty, health care, migration, and education, custodians of the urban future face unprecedented challenges both from the sheer number of human beings in global urban centers and their complex needs. Furthermore, this new reality is set against a backdrop of expanding international terrorism, a neo-liberal consensus that has counseled against governments accepting responsibility for alleviating social problems, and technological changes that are restructuring everyday life.<br />
<br />
This talk will address a variety of pertinent policy-making considerations that confront the fluidity and complexity of urban life, from ideas of the “right to the city” and humane civitas to the interrelated pragmatism found in arguments regarding sprawl and urban social sustainability.</div>
</div>
<b>Blair Ruble </b>is Director of the Kennan Institute and Chair of the Comparative Urban Studies Project at the Woodrow Wilson Center in Washington, D.C.</div>
</div>
Blair Ruble
14 April 2010
http://www.uic.edu/cuppa/gci/whatwedo/eventsarchive/events0910/2010ruble.shtml
Ed Koch and the rebuilding of New York City
Koch Ed, Soffer Jonathan, New York, politique de la ville, renouvellement urbaine, gouvernance, gestion locale, politique urbaine, histoire urbaine, twentieth century, vingtième siècle
<div><b>Abstract from the distributor : </b></div>
</div>
Dean Ellen Schall of NYU’s Robert F. Wagner School of Public Service and Provost Dianne Rekow of NYU’s Polytechnic Institute invite you a book party for author Jonathan Soffer discussing his new book, Ed Koch and the Rebuilding of New York City . Featuring special guest Former Mayor Ed Koch. In 1978, Ed Koch assumed control of a city plagued by filth, crime, bankruptcy and racial tensions. By the end of his mayoral run in 1989, and despite the Wall Street crash of 1987, his administration had begun rebuilding neighborhoods and infrastructure. For better or worse, Koch's efforts convinced many New Yorkers to embrace a new political order subsidizing business, particularly finance, insurance and real estate and privatizing public space. Ed Koch and the Rebuilding of New York City recasts Koch's legacy through personal and mayoral papers, authorized interviews and oral histories, and plots a history of New York City through two rarely studied, yet crucial decades: the bankruptcy of the 1970s and the recovery and crash of the 1980s.</div>
</div>
Ed Koch and the rebuilding of New York City</a>. </i></div>
</div>
Jonathan Soffer
14 October 2010
http://wagner.nyu.edu/podcasts/podcastDetail.php?id=168
Pékin à l’ombre du Mandat Céleste
Pékin, histoire urbaine, gouvernance, gestion locale, Gabbiani Luca
<div>Pékin à l’ombre du Mandat Céleste : vie quotidienne et gouvernement urbain sous la dynastie Qing 1644-1911)</div>
</div>
<b>Présentation par l'éditeur</b> :</div>
</div>
L’histoire de l’administration urbaine de Pékin, jamais étudiée dans la longue durée, offre un portrait singulier de la capitale impériale et de ses institutions locales en même temps qu’un tableau de la vie quotidienne.</div>
<br />
Comment la ville de Pékin fut gouvernée sous le régime impérial tardif, dans un pays où la ville semble ne pas avoir de réalité administrative ? Quelle est la réalité de ce gouvernement urbain confronté à des difficultés grandissantes ? Dominée dans son espace et son administration par le fait impérial mandchou, la gestion urbaine de Pékin, articulée au contexte historique local et du pays tout entier, révèle très concrètement l’évolution du régime impérial dans toute sa complexité.</div>
</div>
<b>Luca Gabbiani</b> décrit au plus près le fonctionnement ordinaire des instances gouvernementales, centrales et locales, tout en ouvrant sur la décennie Xinzheng (1901-1911) des perspectives aussi saisissantes que peu conformes aux opinions communément admises. Laboratoire des réformes xinzheng, ("nouvelles politiques" inspirées des monarchies constitutionnelles occidentales et japonaise) Pékin a servi de modèle et d’étalon au reste du pays. Demeuré largement dans l’ombre jusqu’à présent, cet apport découle à la fois du statut de la ville et de l’influence qu’y exerçaient les pouvoirs publics centraux, principaux pourvoyeurs de fonds pour les instances du nouveau gouvernement urbain. Cela contredit une autre idée communément admise, qui voudrait que l’expérience pékinoise au cours des dernières décennies du régime impérial n’ait eu qu’une incidence marginale, sinon négative, sur la transformation du pays et sur l’édification de son futur.</div>
</div>
Luca Gabbiani
EHESS
27 mai 2011
Ouvrage
Histoire de l'administration de la ville de Paris
Paris, administration, gestion locale, gouvernance, histoire urbaine, dix-huitième siècle, Gay Jean
<div>Histoire de l'administration de la ville de Paris et études diverses sur l'organisation municipale avant et après la Révolution</div>
</div>
<b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Tout un pan de la très riche oeuvre scientifique du Recteur Gay est consacré à l'histoire urbaine, et principalement à l'histoire de l’administration de Paris sous l’Ancien Régime et au XIXe siècle. Rassemblant la quasi-totalité de ces articles, le présent ouvrage a pour socle un texte qui en représente les deux tiers et qui a pour titre : "L’administration de la capitale entre 1770 et 1789. La tutelle de la royauté et ses limites". C’est une étude extraordinaire, grâce à laquelle on apprend tout ce que l’on peut avoir besoin de savoir sur la gestion de Paris à la veille de la Révolution. Rien n’est oublié : les institutions parisiennes, leurs rapports entre elles ainsi qu’avec le roi et ses ministres, les finances municipales et la fiscalité s’appliquant à la population, les grands services publics tels que l’alimentation de la ville en eau, l’éclairage urbain, l’évacuation des ordures ou la lutte contre les incendies, l’organisation et le contrôle des approvisionnements, l’urbanisme et tout ce qui concerne les voies publiques et les immeubles riverains, tous les aspects du maintien de l’ordre public (qu’il s’agisse de la délinquance, de la prostitution, des jeux interdits, etc.), les enclaves seigneuriales abritant de la police ceux qui contreviennent à la loi, les mesures favorables à l’hygiène et à la santé. Sur tous ces points, et sur une foule d’autres encore, le texte de Jean Gay est d’une extrême précision, rendue possible par l’utilisation systématique et minutieuse de vastes dépouillements d’archives.<br />
<br />
Écrite voici un demi-siècle, cette œuvre magistrale et extrêmement novatrice de <b>Jean Gay</b> a été entre-temps ponctuellement complétée, par ses propres travaux et par ceux d’autres chercheurs, mais elle n’a pas été égalée et encore moins remplacée. Elle offre une utilité toujours intacte et sa consultation est infiniment fructueuse pour tous ceux qui travaillent sur n’importe quel aspect de l’histoire de Paris (et plus généralement de l’histoire urbaine) au XVIIIe siècle.</div>
</div>
Antoine Astaing, François Lormant,
(dir.)
Presses universitaires de Nancy
Juin 2011
578
Ouvrage
Second cities : Globalization and local politics in Manchester and Philadelphia
, mondialisation, second city, Manchester, Philadelphia, Philadelphie, métropole, histoire urbaine, développement urbain, Hodos Jerome I., gestion locale, gouvernance, collectivités locales, politique de la ville
<div><b>Abstract from the publisher : </b></div> </div> Manchester, England, and Philadelphia, Pennsylvania, are what sociologist Jerome Hodos calls second cities—viable alternatives to well-known global cities such as London and New York. In Second Cities, Hodos considers how Manchester and Philadelphia have confronted problems of globalization over the past two centuries.<br /> <br /> This thought-provoking, comparative look at these cities examines their histories, economies, migration patterns, cultural innovations, transportation planning, and self-identities. Hodos demonstrates not just how the two cities are positioned in global flows of capital, goods, people, and ideas but also how each has used what he calls “municipal foreign policy” to preserve and rejuvenate its position over time. The second city offers an illustrative lens through which to view other urban centers, from Atlanta to Bangalore, Seattle, and Turin.<br /> <br /> Hodos’s description and analysis of urban development over a broad time frame offer lessons for policy makers, scholars, and community leaders concerned with the impact of globalization on their own cities.</div> </div> <b>Jerome I. Hodos </b>is Associate Professor of Sociology at Franklin and Marshall College, Pennsylvania.</div> </div>
Jerome I. Hodos
Temple University Press
May 2011
264
Ouvrage
Bloomberg's New York : Class and governance in the luxury city
New York, Bloomberg Michael, politique de la ville, politique urbaine, aménagement urbain, développement urbain, néolibéralisme, gouvernance, gestion locale, Brash Julian
<div><b>Abstract from the publisher : </b></div> </div> What happens when our mayors are CEOs?<br /> <br /> New York mayor Michael Bloomberg claims to run the city like a business. In Bloomberg’s New York, Julian Brash applies methods from anthropology, geography, and other social science disciplines to examine what that means. He describes the mayor’s attitude toward governance as the Bloomberg Way—a philosophy that holds up the mayor as CEO, government as a private corporation, desirable residents and businesses as customers and clients, and the city itself as a product to be branded and marketed as a luxury good.<br /> <br /> Commonly represented as pragmatic and nonideological, the Bloomberg Way, Brash argues, is in fact an ambitious reformulation of neoliberal governance that advances specific class interests. He considers the implications of this in a blow-by-blow account of the debate over the Hudson Yards plan, which aimed to transform Manhattan’s far west side into the city’s next great high-end district. Bringing this plan to fruition proved surprisingly difficult as activists and entrenched interests pushed back against the Bloomberg administration, suggesting that despite Bloomberg’s success in redrawing the rules of urban governance, older political arrangements—and opportunities for social justice—remain.<br /> <br /> <b>Julian Brash</b> is assistant professor of anthropology at Montclair State University.</div> </div>
Julian Brash
The University of Georgia Press
January 2011
344
Ouvrage
Ed Koch and the rebuilding of New York City
New York, Ed Koch, Soffer Jonathan, politique de la ville, politique urbaine, gestion locale, gouvernance, rénovation urbaine, histoire urbaine, twentieth century, vingtième siècle
<div><b>Abstract from the publisher : </b></div>
</div>
In 1978, Ed Koch assumed control of a city plagued by filth, crime, bankruptcy, and racial tensions. By the end of his mayoral run in 1989 and despite the Wall Street crash of 1987, his administration had begun rebuilding neighborhoods and infrastructure. Unlike many American cities, Koch's New York was growing, not shrinking. Gentrification brought new businesses to neglected corners and converted low-end rental housing to coops and condos. Nevertheless, not all the changes were positive—AIDS, crime, homelessness, and violent racial conflict increased, marking a time of great, if somewhat uneven, transition.<br />
<br />
For better or worse, Koch's efforts convinced many New Yorkers to embrace a new political order subsidizing business, particularly finance, insurance, and real estate, and privatizing public space. Each phase of the city's recovery required a difficult choice between moneyed interests and social services, forcing Koch to be both a moderate and a pragmatist as he tried to mitigate growing economic inequality. Throughout, Koch's rough rhetoric (attacking his opponents as "crazy," "wackos," and "radicals") prompted charges of being racially divisive. The first book to recast Koch's legacy through personal and mayoral papers, authorized interviews, and oral histories, this volume plots a history of New York City through two rarely studied yet crucial decades: the bankruptcy of the 1970s and the recovery and crash of the 1980s.</div>
</div>
<b>Jonathan Soffer</b> is associate professor of history at New York University's Polytechnic Institute, specializing in twentieth-century American urban and political history.</div>
</div>
</div>
</div>
Jonathan Soffer
Columbia University Press
October 2010
528
Ouvrage
The imaginative institution : Planning and governance in Madrid
, aménagement urbain, gestion locale, gouvernance, renouvellement urbain, politique urbaine, politique de la ville, Madrid, Neuman Michael
<div><b>Abstract from the publisher : </b></div>
</div>
Every 20 years since 1920, Madrid has undergone an urban planning cycle in which a city plan was prepared, adopted by law, and implemented by a new institution. This preparation-adoption-institutionalization sequence, along with the institution's structures and procedures, have persisted – with some exceptions – despite frequent upheavals in society. The planning institution itself played a lead role in maintaining continuity, traumatic history notwithstanding. Why and how was this the case?<br />
<br />
Madrid's planners, who had mostly trained as architects, invented new images for the city and metro region: images of urban space that were social constructs, the products of planning processes. These images were tools that coordinated planning and urban policy. In a complex, fragmented institutional milieu in which scores of organized interests competed in overlapping policy arenas, images were a cohesive force around which plans, policies, and investments were shaped.<br />
<br />
Planners in Madrid also used their images to build new institutions. Images began as city or metropolitan designs or as a metaphor capturing a new vision. New political regimes injected their principles and beliefs into the governing institution via images and metaphors. These images went a long way in constituting the new institution, and in helping realize each regime's goals.<br />
<br />
This empirically-based life cycle theory of institutional evolution suggests that the constitutional image sustaining the institution undergoes a change or is replaced by a new image, leading to a new or reformed institution. A life cycle typology of institutional transformation is formulated with four variables: type of change, stimulus for change, type of constitutional image, and outcome of the transformation.<br />
<br />
By linking the life cycle hypothesis with cognitive theories of image formation, and then situating their synthesis within a frame of cognition as a means of structuring the institution, this book arrives at a new theory of institutional evolution. The constitutional image represents the institution's ideology and precepts that are replicated over space and time via structures and processes. Changing the constitutional image in the minds of the institution's members yields a change in the institution.</div>
</div>
<b>Michael Neuman </b>is an Associate Professor at the Department of Landscape Architecture and Urban Planning, Texas A&M University.</div>
</div>
Michael Neuman
Ashgate
October 2010
254
Ouvrage
Reforming urban labor : Routes to the city, roots in the country
, histoire urbaine, travail, logement, politique du logement, politique urbaine, banlieue populaire, gestion locale, développement urbain, déplacement de population, histoire de l'urbanisme, Brussels, Bruxelles, London, Londres, nineteenth century, dix-neuvième siècle, Polasky Janet L.
<div><b>Abstract from the publisher : </b></div>
</div>
Reforming Urban Labor is a history of the nineteenth-century social reforms designed by middle-class progressives to domesticate the labor force. Industrial production required a concentrated labor force, but the swelling masses of workers in the capitals of Britain and Belgium, the industrial powerhouses of Europe, threatened urban order. At night, after factories had closed, workers and their families sheltered in the shadowy alleyways of Brussels and London. Reformers worked to alleviate the danger, dispersing the laborers and their families throughout the suburbs and the countryside. National governments subsidized rural housing construction and regulated workmen's trains to transport laborers nightly away from their urban work sites and to bring them back again in the mornings; municipalities built housing in the suburbs. On both sides of the Channel, respectable working families were removed from the rookeries and isolated from the marginally employed, planted out beyond the cities where they could live like, but not with, the middle classes.<br />
<br />
In Janet L. Polasky's urban history, comparisons of the two capitals are interwoven in the context of industrial Europe as a whole. Reforming Urban Labor sets urban planning against the backdrop of idealized rural images, links transportation and housing reform, investigates the relationship of middle-class reformers with industrial workers and their families, and explores the cooperation as well as the competition between government and the private sector in the struggle to control the built environment and its labor force.</div>
</div>
<b>Janet L. Polasky</b> is Presidential Professor of History and Women's Studies at the University of New Hampshire.</div>
</div>
Janet L. Polasky
Cornell University Press
July 2010
264
Ouvrage
The time of the city : Politics, philosophy and genre
, sciences politiques, philosophie, politique de la ville, identité, sécurité, gestion locale, mondialisation, littérature, représentations
<div><b>Abstract from the publisher : </b></div>
</div>
The Time of the City is a trans-disciplinary work with a focus on genre-city relationships as they articulate the micropolitics of urban life in diverse cities. Shifting the territorial emphasis of political studies from the mosaic of states to the global network of cities, the book draws on urban theory rather than traditional forms of official city politics. Deriving their methodological approaches from aspects of urban theory and philosophies of aesthetics, the chapters deploy concepts from philosophy, political theory, literary studies, cinema studies, poetics and aesthetic theory on diverse cities, among which are Berlin, Hong Kong, London, Los Angeles, New York, Philadelphia and Washington, DC.<br />
<br />
Investigating a wide variety of urban formations, and developing a geophilosophy appropriate to urban space, this multi genre approach to urban life provides stunning insights into the micropolitics of ethnicity, identity, security, subjectivity and sovereignty.</div>
</div>
<b>Michael J. Shapiro</b> is a Professor of Political Science at the University of Hawaii.</div>
</div>
Michael J. Shapiro
Routledge
June 2010
232
Ouvrage
Nouakchott. Au carrefour de la Mauritanie et du monde
Nouakchott, Mauritanie, capitale, gestion locale, gouvernance, mondialisation, appropriation, Choplin Armelle
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Nouakchott n'est plus une petite ville peuplée d'anciens nomades sédentarisés, perdue dans les confins saharo-sahéliens. Elle s'affirme aujourd'hui comme une importante capitale ouest-africaine pleinement entrée dans la mondialisation. Avec ses 800 000 habitants, Nouakchott est le miroir des mutations profondes que connaît la Mauritanie contemporaine.</div>
<br />
Erigée ex nihilo en 1957 pour accompagner la naissance de la République islamique de Mauritanie, elle reste une jeune capitale, fabriquée tant bien que mal par le pouvoir dont elle a pu refléter les ambitions. Mais au fil des années, les Mauritaniens de toutes les régions du pays se sont approprié cette ville et ont ainsi contrebalancé la fabrique urbaine étatique. Objet politique créé de toutes pièces et objet social remodelé dans la quotidienneté des échanges, ce sont donc deux destins qui sont mis ici en parallèle : celui d'une ville et celui d'une société, qui se politisent simultanément et se construisent tant dans la complémentarité que dans l'opposition.</div>
</div>
Agrégée et docteur en géographie, <b>Armelle Choplin</b> est maître de conférences à l'Université Paris-Est Marne-la-Vallée et membre de l'équipe Analyse comparée des pouvoirs (EA 3350). Elle est chercheure associée au laboratoire PRODIG (UMR 8586).</div>
</div>
</div>
</div>
Armelle Choplin
Karthala
Décembre 2009
372
Ouvrage
L'eau des villes - Aux sources des empires municipaux
eau, gestion locale, politique de la ville, politique urbaine, Suisse, Pflieger Géraldine
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
La maîtrise des sources, le pompage des lacs et rivières ou l’élargissement de la distribution relèvent d’un pan méconnu de l’histoire de la Suisse et de ses villes. Les municipalités, pour créer leur réseau d’eau, l’étendre et s’assurer des revenus confortables, ont agi en concurrence, parfois épique, avec les entreprises privées et l’Etat. De petits empires de l’eau se sont constitués à Genève, Lausanne, Bâle, Berne, Zurich, ailleurs encore, avec votes et rebondissements. Ces problèmes, très actuels dans toute l’Europe, ont pour enjeux le pouvoir politique sous la poussée de l’urbanisation, le commerce, la technique, les investissements, la santé, l’environnement. Comment notre eau quotidienne coulera-t-elle demain ?<br />
<br />
<b>Géraldine Pflieger</b> est professeure assistante en politiques publiques et instances de régulation à l’<a href="http://www.unil.ch" target="_blank">université de Lausanne</a> (Institut d’études politiques et internationales).</div>
</div>
Géraldine Pflieger
Presses Polytechniques et Universitaires Romandes
Avril 2009
120
Ouvrage
Gouverner une mégapole : l'expérience de Sao Paulo
Sao Paulo, Brésil, mégapole, métropole, gouvernance, gestion locale, politique de la ville, Villas Boas Gabbi Ligia
<div><b>Présentation par l'éditeur :<br />
</b></div>
</div>
Pour comprendre comment est gouvernée une mégalopole, il faut prendre en considération des caractéristiques telles que la capacité administrative, les logiques organisationnelles et bureaucratriques, les conditions sociales, économiques, financières, démographiques et politiques, ainsi que le poids des groupes d'intérêt, des associations et de la mobilisation sociales. Sao Paulo offre à cet égard un contexte singulier.</div>
</div>
Sao Paulo détient le statut de mégalopole en raison de ses dimensions humaines et géographiques : à ses 11 016 703 habitants sur un territoire de 1523 km2, s'ajoutent 8,7 millions d'habitants ressortissants de 38 villes limitrophes qui forment avec elle la région métropolitaine de Sao Paulo. L'importance de cette métropole résulte du rôle central qu'elle joue dans les finances et l'économie nationales. Elle fait partie du réseau international des villes globales car elle héberge le siège social pour l'Amérique latine de différentes entreprises et banques multinationales et offre des services de haute complexité technologique. Sur le plan politique, elle est à la fois la ville-centre de la région métropolitaine et la capitale de l'Etat de Sao Paulo où se trouve le siège du gouvernement. Elle ne possède, cependant, aucun statut particulier comme Paris (ville-département) ou Berlin (ville-Etat) et l'institutionnalisation de la région métropolitaine n'a pas pris en considération les spécificités locales.</div>
</div>
Cet ouvrage apporte, au-delà du cas de Sao Paulo, une contribution d'importance à l'étude de la gestion des grandes métropoles, tout en montrant la nécessité d'éviter de plaquer une grille unique d'explication et de prendre à chaque fois en compte la singularité des configurations locales.</div>
</div>
CERSA</a>).</div>
</div>
Ligia Villas Boas Gabbi
L'Harmattan
Avril 2009
160
Ouvrage
Arles et la peste de 1720-1721
Arles, épidémie, gestion locale, émeute, dix-septième siècle, Caylux Odile
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
</div>
Située au bord du Rhône et à la limite du Languedoc, Arles est, au XVIIIe siècle, la quatrième ville de Provence. Gagnée par l'épidémie de peste (1720-1721) six mois après Marseille, elle est fortement atteinte et perd un tiers de sa population. Les autorités consulaires mettent en oeuvre les mesures habituelles en temps d'épidémie : interdiction de circuler (mais le vaste terroir agricole arlésien est indispensable à la vie de la cité), ouverture d'infirmeries, soins aux pestiférés, aide alimentaire aux nécessiteux, le tout sur fond de crise financière aigüe.</div>
</div>
Le très important fonds d'archives conservé permet de suivre pas à pas cet épisode tragique, d'en connaître les acteurs, d'analyser les décisions prises, d'en voir les conséquences. Fait exceptionnel, quatre consuls et trente-cinq conseillers municipaux, dévoués à la population, meurent pestiférés après avoir affronté un soulèvement populaire d'une particulière ampleur.</div>
</div>
<b>Odile Caylux</b> est docteure en histoire moderne, animatrice de l'architecture et du patrimoine de la ville d'Arles.</div>
</div>
Odile Caylux
Presses Universitaires de Provence
19 février 2009
290
Ouvrage
Espaces partagés, espaces disputés. Bruxelles, une capitale et ses habitants
Dessouroux Christian, Bruxelles, analyse spatiale, cartographie, culture urbaine, développement urbain, dynamiques urbaines, espace urbain, conflit, gestion locale, gouvernance, identité, géographie, histoire
<div><b>Présentation de l'éditeur :</b></div>
</div>
Bruxelles est depuis toujours un lieu de pouvoir important. Pour asseoir ce rôle, des investissements considérables ont été consentis régulièrement pour remodeler l'image de la ville.<br />
<br />
Bruxelles devient progressivement le lieu de résidence et d'exercice du pouvoir princier, royal, étatique, et supraétatique, le noeud d'un réseau de circulation routier, par eau, ferroviaire, puis aérien, un lieu central de production et d'échange.<br />
<br />
Désormais Région à part entière d'un état fédéral, elle assume en outre le rôle de capitale de fait de l'Europe.<br />
<br />
La ville est aussi un espace de vie et d'habitat, déterminé par son histoire ancienne et par les développements rapides des 19e et 20e siècles.<br />
<br />
L'espace urbain s'en trouve à la fois partagé et disputé entre les différents acteurs et enjeux qui rythment le processus d'urbanisation au fil du temps.<br />
<br />
La ville au jour le jour résulte de la coexistence mais également de la confrontation des différentes fonctions urbaines (activités économiques, logement, équipements publics, transports) et des intérêts variés des acteurs économiques (propriétaire, entrepreneur, promoteur), politiques (prince, état, représentants) et des habitants qui se partagent l'espace et l'usage de la ville. Ces derniers, en raison de la démocratisation croissante du fonctionnement de la société, jouent aujourd'hui un rôle plus actif dans la gestion et l'aménagement de la ville.<br />
<br />
Cartographie nouvelle, documents iconographiques originaux et un DVD interactif de visionnage de photographies aériennes aiguisent un regard renouvelé sur l'histoire de l'urbanisation de la région bruxelloise et facilitent la compréhension de son évolution.<br />
<br />
Ce catalogue est édité par la Direction Études et Planification (Administration de l'Aménagement du Territoire et du Logement) dans le cadre d'une exposition organisée à l'initiative du Ministre-Président du gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, dans les Halles Saint-Géry du 11 janvier au 23 avril 2008.</div>
</div>
Christian Dessouroux
Direction Études et Planification de la Région de Bruxelles-Capitale
2008
Ouvrage
Rennes sous la IIIe République. Cahiers d'Edmond Vadot...
gestion locale, Rennes, Troisième République, histoire, témoignage
<div>Rennes sous la IIIe République. Cahiers d’Edmond Vadot, secrétaire général de la ville de 1885 à 1909.</div>
</div>
<b>4e de couverture :</b></div>
</div>
Depuis quarante ans, la Bibliothèque municipale de Rennes détenait un curieux manuscrit comme on disait au XIXe siècle. Tellement curieux – et impressionnant d’ailleurs avec ses 1 800 pages –, que cet ensemble formé des Cahiers d’écolier tenus par Edmond Vadot, secrétaire général de la mairie de Rennes de 1885 à 1909, était demeuré inédit.</div>
<br />
Et pourtant, il est bien question d’une histoire de la Ville, vue et vécue de l’intérieur par un observateur placé au croisement idéal pour en comprendre les ressorts. Pas moins de sept maires se succèdent dans cette chronique, faisant passerelle entre Edgar Le Bastard et Jean Janvier, ici réunis par un même désir de modernisation. On y perçoit aussi les effets très directs de l’affaire Dreyfus et les changements de majorités municipales qui en résultent, les relations souvent compliquées avec l’État à travers ses préfets, comme les tentations d’un fonctionnaire un peu trop entreprenant devant un pouvoir municipal incertain de lui-même.</div>
<br />
Mais c’est aussi à l’histoire d’une migration géographique et professionnelle, à une trajectoire sociale et à un itinéraire psychique qu’invite ce texte, déconcertant par son mode de composition, comme par son contenu. De fait, la vie de bureau laisse assez de loisirs, entre deux conversations, pour qu’à côté des portraits parfois acides et des délibérations municipales, l’esprit puisse divaguer. De la Bresse reconstruite par l’imaginaire aux plaisirs balnéaires des rivages de la Manche, des jalousies entre élus rennais aux aléas domestiques, en passant par l’expérience terrible de la guerre francoprussienne de 1870, la langueur et les doutes de la Belle Époque trouvent en Vadot un mémorialiste inattendu, aux confluences de l’extraordinaire et de la banalité. À l’apogée du scientisme bien des doutes subsistent en effet, auxquels savants, vulgarisateurs… et tables tournantes tentent de répondre à leur manière.</div>
<br />
Il fallait donc plusieurs yeux pour lire ces Cahiers et plusieurs mains pour les commenter. Issue d’un travail collectif ayant associé des étudiants puis des enseignants-chercheurs, cette édition volontairement partielle illustre la complexité des jeux sociaux et des identités politiques alors en œuvre.</div>
</div>
université Rennes 2</a>.</div>
</div>
Collectif
Presses Universitaires de Rennes
Octobre 2008
546
Ouvrage
Decentralization and the politics of urban development in West Africa
, politique de la ville, politique urbaine, gouvernance, gestion locale, participation, développement urbain, citoyenneté, démocratie participative, collectivités locales, West Africa, Afrique de l'Ouest, urbanisation, Stren Richard, Eyoh Dickson
<div>
NC
Woodrow Wilson International Center for Scholars
2007
235
Ouvrage
America becomes urban : The development of U.S. cities and towns 1780-1980
, aménagement, aménagement urbain, histoire de l'urbanisme, histoire urbaine, forme urbaine, collectivités locales, gestion locale, gouvernance, urbanisation, Monkkonen Eric H.
<div><b>From the preface : </b></div>
</div>
The American city: we think of the Manhattan skyline, of Chicago curving along the shore of Lake Michigan, or of the Golden Gate Bridge arcing into San Francisco. Or, if we think historically, we might envision steerage passengers, crowded shopping streets and fetid tenements, leafy boulevards and Victorian mansions. This book captures a different American city, a city epitomized by suburbs and freeways as well as high-rise downtowns. This city, the unglamourous place where most Americans through history have lived, is not the ideal city and does not even represent necessarily the kind of place where people should live. This city, where nearly all Americans today do live—sprawling, diffuse, varied—began in the nineteenth century. It is characterized by its nonvisible foundation, a political center around which its citizens have built the physical and institutional bases of modern transportation, welfare, and education.</div>
</div>
The history of our cities is... the history of how they came to their corporate status, what they have done with this status, and how they have shaped themselves. Our cities are what we have made them. They will be what we make them. Not everyone shares evenly in the power to shape and make them, and this is a part of the story. The history of U.S. cities must show what makes them American, what underlies their diversity, and why they share more with the business corporation than they do with their historical, Old World, predecessors. And finally, the history of the U.S. city must show that along with the images of Manhattan's skyline, Chicago's shoreline, and San Francisco's bridges, the suburban tract carries in it a spirit that has characterized the New World city, even in the colonial period. All of these jumbled and contrasting images are the U.S. city, and none alone captures adequately the physical, cultural, and economic variety that their corporate identities have undergirded. They move, change, grow, decay, succeed, and fail, just as the American city itself.</div>
</div>
The late <b>Eric H. Monkkonen </b>was Distinguished Professor of Public Policy and History at UCLA.</div>
</div>
Eric H. Monkkonen
University of California Press
1988
332
Ouvrage
http://ark.cdlib.org/ark:/13030/ft8779p1zm/
Challenges to open cities in Africa, Asia, Latin America and the Middle East
open city, ville ouverte, intégration, exclusion, mondialisation, gestion locale, identité, pays en développement, politique urbaine, gouvernance
<div>
Multiple authors
N-AERUS
1-3 October 2009
Autre
City, culture and society (Vol. 1, No. 1)
, culture urbaine, inclusion, développement durable, société urbaine, ville créative, creative city, gouvernance, gestion locale, Sasaki Masayuki
<div><b>Extract from the editorial by Masayuki Sasaki : <br /> </b></div> </div> Global society is experiencing a transition away from the existing socio-economic system, and there is a need to question and rethink existing theories in the domains of the humanities and social sciences as well. In the field of urban studies, the urgent task has become reconsideration of the global cities, creative cities, sustainable cities, etc. which have appeared up to the beginning of the 21st century.</div> </div> The journal CCS that has now been born is an academic journal dealing pricipally with themes in the forefront of urban governance and management, under the banner of cultural creativity and social inclusion. The main goal of this journal is to promote groundbreaking research on cities, present a vision of new city development that responds to problems, and to be a resource for urban governance.</div> </div> Especially important topics to be covered include the creative economy of cities, cultural creativity, social inclusion, social sustainability, cultural technology, urban management, sustainable cities, and creative cities. As a groundbreaking academic journal, CCS welcomes manuscript submissions from a wide range of specialized disciplines, including economics, business, accounting, planning, political science, architecture, geography, sociology, historiography, cultural studies, population studies and public administration.</div> </div> <b>Contents : </b></div> </div> City, Culture and Society (CCS) – Opening up new horizon of urban studies - Masayuki Sasaki<br /> The city: Its return as a lens for social theory - Saskia Sassen<br /> Creative cities: Tensions within and between social, cultural and economic development: A critical reading of the UK experience - Andy C. Pratt<br /> Open Show preview | PDF (189 K) | Related articles | Related reference work articles <br /> The fragile urban situation of cultural producers in Paris - Edmond Préteceille<br /> A cultural approach to recovery assistance following urban disasters - Shin Nakagawa, Koichi Suwa<br /> Impact of culture on dissatisfied customers: An empirical study - Jean-Charles Chebat, Lamia Kerzazi, Haithem Zourrig</div> </div> <b>Masayuki Sasaki </b>is Professor of Urban and Cultural Economics, and Director of the Urban Research Plaza, Graduate School for Creative Cities, Osaka City University in Japan.</div> </div>
NC
Elsevier
March 2010
1 - 44
Revue
http://www.sciencedirect.com/science/journal/18779166