Ville visible Ressources cachées
ville visible, ville invisible, ressources cachées, système, densité, climat, énergie, nature
Une livraison de la revue Paris projet (N° 41-42, juillet 2013)
Ville visible, Ressources cachées, ce numéro 41/42 de Paris Projet, explore les richesses et les interactions de la ville du dessus et du dessous, de la ville visible et invisible. Ce vaste sujet ouvre un nouveau chapitre de l’histoire de la revue et réunit, autour des analyses de l’Apur, des contributions extérieures, et en particulier les résultats de l’Appel à contributions lancé par la Ville de Paris sur le thème des ressources cachées.
En posant les bases d’une meilleure adaptation de la ville au regard des enjeux présents et futurs, densité, climat, énergie, nature, sans oublier le rôle joué par le facteur humain, cette publication considère et analyse la ville comme un système pour lequel il convient d’établir de nouvelles règles du jeu.
Collectif
http://www.apur.org/paris-projet/ville-visible-ressources-cachees
Atelier parisien d'urbanisme (Apur)
2013-07
247
FR
Livraison de revue
El Valle de Chalco - Mexico - Ville sortie d'un lac
ressources renouvelables, environnement, nature, écologie, urbanisme, aménagement, sociologie urbaine Amérique Centrale, Mexique
Présentation par l'éditeur :
L'ouvrage propose, à 20 ans d'intervalle, deux photographies d'une ville satellite de Mexico, El Valle de Chalco.
Souci environnemental et dynamique d'une société en transition, tel est le sujet du livre qui pose par ailleurs la question centrale du fait politique : une société c'est autant les gens que l'espace, les pesanteurs du passé que les espérances du futur, la population et l'action politique.
Sonia Comboni
Jose Manuel Juarez
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&isbn=978-2-343-01218-6
L'Harmattan
2013-07
178
FR
Ouvrage
Philosophie de l'environnement et milieux urbains
environnement, nature, philosophie, urbanisation, paysage urbain, développement durable, Paquot Thierry, Younès Chris
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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L'urbanisation planétaire à l'oeuvre transforme profondément les relations des hommes avec la nature : elle en vient à environner l'environnement, avec ses autoroutes, ses centres commerciaux, son habitat épars, ses parcs de loisirs, ses stations de sports d'hiver et ses marinas de bord de mer... Bien sûr, il reste des forêts, de hautes montagnes, des parcs naturels, des champs cultivés, mais ces espaces ne sont guère épargnés, puisqu'ils sont devenus des destinations touristiques, des enjeux fonciers, des dépendances urbaines et parfois des décharges...</div>
<br />
Qu'appelle-t-on "environnement" à l'heure de l'urbanisation généralisée ? Les urbains y trouvent-ils les éléments constitutifs d'un "milieu" habitable ? Répondre à ces questions cruciales nécessite de mobiliser des savoirs et des pratiques professionnelles divers. D'où cet ouvrage polyphonique, réunissant des auteurs d'horizons différents, tous convaincus que l'urbanisation n'est pas en soi à diaboliser mais à penser à partir d'une philosophie de l'environnement renouvelée. Celle-ci doit questionner toutes les "perturbations" que cette urbanisation sans précédent provoque et reconsidérer certains de ses outils.</div>
<br />
La constitution de plusieurs "milieux urbains" bouscule les anciennes relations ville/campagne et humain/nature et impose un "arrêt" sur la philosophie de l'environnement afin, à la fois, d'en prendre la mesure et de l'analyser.</div>
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<b>Sommaire :</b></div>
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Préface, par Isabelle Laudier<br />
Introduction. Pour une philosophe de l’environnement et des milieux urbains, par Thierry Paquot et Chris Younès</div>
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I. des pensées à repenser<br />
"Environnement" et "milieu(x) urbain(s)", enquête étymologique, par Thierry Paquot<br />
Au milieu des milieux urbains, par Chris Younès<br />
La carpe et le lapin, éthique environnementale et pensée du milieu urbain, par Hicham-Stéphane Afeissa<br />
Du soubassement physique de notre environnement, et de quelques réflexions qui en émergent, par Xavier Bonnaud<br />
Esthétiques de la nature et place de l’environnement en sciences sociales, par Nathalie Blanc</div>
<br />
II. L’urbain et ses paysages comme "milieu"<br />
Des mots de l’environnement aux maux des territoires, par Guillaume Faburel<br />
Deux conceptions de la durabilité urbaine : ville prométhéenne versus ville orphique, par Joëlle Salomon Cavin et Dominique Bourg<br />
Le paysage permet-il d’aborder autrement la question de l’environnement ?, par Éric Daniel-Lacombe<br />
Paysage et environnement : quelle association ?, par Théodora Manola</div>
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Pour conclure, provisoirement… Entretien avec Gilles Clément, par Constance Heau</div>
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<b>Thierry Paquot</b>, philosophe de l'urbain, est professeur des universités, éditeur de la revue Urbanisme.</div>
<b>Chris Younès</b>, philosophe, est responsable scientifique du "Réseau philosophie, architecture, urbain" (École d'architecture de Clermont-Ferrand).</div>
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Thierry Paquot,
Chris Younès,
(dir.)
La Découverte
10 juin 2010
192
Ouvrage
Dead Cities
ville morte, nature, écologie, catastrophisme, destruction, Davis Mike
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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Une Terre où la nature recouvre peu à peu ses droits sur la ville après la disparition de l'espèce humaine. Une architecture bunkerisée dédiée à la sécurité et au contrôle comme réponse à l'effondrement des Twin Towers. Des répliques d'immeubles allemands et japonais érigées dans le désert de l'Utah pour servir de laboratoire au dernier grand projet du New Deal : la destruction par le feu des villes ennemies. Dévastée par les bombes ou les stylos rouges des spéculateurs immobiliers, la Grande Ville capitaliste s'est révélée particulièrement apte à réaliser certaines prophéties catastrophistes.<br />
<br />
S'inscrivant dans la tradition marxiste d'Ernst Bloch, Mike Davis affirme que l'aliénation cognitive produite par la mise au ban de la nature dans l'expérience collective a suscité une angoisse constante tout au long du XXe siècle. Dans une veine à la fois mélancolique et optimiste (le système capitaliste n'est qu'un stade de l'histoire humaine appelé à être dépassé), Mike Davis invite donc à une nouvelle science urbaine qui s'appuierait sur la "dialectique ville-nature".<br />
<br />
Celle-ci permettrait d'envisager la ville dans la totalité des interactions qu'elle entretient avec son "dehors naturel", et de déjouer les limites actuelles des études urbaines. Cela passe ici par un travail spéculatif s'appuyant sur une hypothèse - la disparition de l'homme - et sur un extraordinaire corpus littéraire et scientifique, où les espèces végétales et animales dansent sur les cendres de nos villes mortes.</div>
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<i>Paradis infernaux : les villes hallucinées du néo-capitalisme</i></a> (Les Prairies ordinaires, 2008).</div>
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Mike Davis
Les Prairies Ordinaires
16 octobre 2009
137
Ouvrage
Usonia ou le mythe de la ville-nature américaine
aménagement de l'espace, architecture, environnement urbain, expérimentation urbaine, modèle de ville, mythologie, nature, ville idéale, Maumi Catherine
<div><b>Présentation par l'éditeur :</b></div>
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Voilà minutieusement reconstituée la tradition anti-urbaine aux États-Unis, depuis les premières communautés cherchant une alternative aux formes traditionnelles de regroupement en agglomération. Longtemps considéré comme un paradis, ce Nouveau Monde offre de l'espace et de la nature à revendre. Alors quand les premiers effets de l'industrialisation se dessinent en ville, penseurs et poètes voient, dans un retour auprès de la nature et à la vie sauvage, une volonté de renouer avec la vraie tradition américaine, celle du pionnier.</div>
<br />
Sur ce nouveau territoire, la ville est jugée comme une tare européenne dont l'importation apparaît inopportune, pire dénoncée depuis le XVIIIème siècle par nombre de philosophes, penseurs, prêcheurs, etc... Au début du siècle dernier, architectes et urbanistes relaient cette critique de la ville corruptrice. Ainsi, le grand architecte américain Frank Lloyd Wright prône une désertion des villes pour renouer avec les bases agraires originelles de la civilisation américaine. Il voit dans la démocratisation de l'automobile, l'outil qui permettra la fuite hors la ville, loin de toutes concentration.</div>
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école nationale supérieure d’architecture de Saint-Etienne</a>.</div>
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Catherine Maumi
Editions de la Villette
26 janvier 2009
Non précisé
Ouvrage
La nature dans la ville : biodiversité et urbanisme
nature, biodiversité, urbanisme
<div>Un bilan est dressé dans un premier temps sur l'évolution de la place de la nature dans la société, le cadre normatif actuel en matière de droit de l'urbanisme et de biodiversité, les politiques de nature dans la ville régionales et locales. <br />
<br />
Des exemples de réalisations à différentes échelles territoriales sont présentés. <br />
<br />
Dans le chapitre suivant est traité de l'évolution de l'urbanisme et de l'architecture en relation avec la nature, ce qui permet de confronter la vision actuelle des urbanistes et des naturalistes aux représentations et attentes des citadins, sans oublier la question des nuisances biologiques et du risque sanitaire associé. <br />
<br />
Quatre points qui posent des problèmes spécifiques et représentent des enjeux majeurs sont ensuite détaillés : la densité du bâti, les services rendus par la nature, le financement des programmes, la formation et la communication sur la thématique de la biodiversité et de l'urbanisme. <br />
<br />
Enfin, quelques pistes de réflexions sont proposées en guise de conclusion.</div>
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Bernard Reygrobellet
La Documentation
française
décembre 2007
182
Autre
La nature dans les villes du Sud
nature, ville en développement, paysage, jardin, Fournet-Guérin Catherine
<div>
<span class="textenoirsmallR">A l'évocation des villes du Sud, ce sont
davantage des visions de chaos urbains qui surgissent que des images de
paysages naturels. <br />
<br />
Or le numéro 62 de <a href="http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=revue&no=17" target="_blank">Géographie et Cultures</a> explore précisément cette dimension
méconnue des grandes villes des pays en développement, lesquelles
recèlent souvent des espaces naturels riches et aussi variés que forêts
urbaines, parcs et jardins, zones humides ou bosquets sacrés.<br />
<br />
<strong>Catherine Fournet-Guérin</strong> est maître de conférences en géographie et membre de l'équipe d'accueil Habiter (EA 2076) à l'université de Reims. Elle participe également aux travaux du laboratoire associé au CNRS Espaces, nature et culture (UMR 8185). Elle poursuit des recherches consacrées à la ville de Tananarive et plus largement aux dynamiques spatiales à l'œuvre à Madagascar.<br />
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Catherine Fournet-Guérin
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L'Harmattan
Mars 2008
142
Revue