https://crevilles.org/items/browse?tags=salubrit%C3%A9&output=atom2024-03-29T13:36:46+01:00Omekahttps://crevilles.org/items/show/39645
C’est leur grande œuvre de la fin de l’Ancien Régime, initiée par Louis XV, décidée par Louis XVI, poursuivie pendant le période révolutionnaire et, enfin, terminée dans les années 1830.
Grâce à l’étude et à l’exploitation d’une grande quantité de documents, dont beaucoup d’images, qui sont reproduites dans le volume et en font un livre d’art exceptionnel, l’auteure retrace la longue histoire de l’agrandissement des bassins du port, de la création d’une ville nouvelle et de la construction de bâtiments officiels architecturalement novateurs.
Elle s’intéresse aussi aux transformations importantes relevant de la salubrité, de la commodité et de la sécurité de la ville, en particulier au parcours des eaux, à la création de marchés, au déplacement des cimetières, à l’éclairage et à l’édification de prisons.]]>2015-02-06T12:06:35+01:00
Dublin Core
Titre
Les embellissements du Havre au XVIIIe siècle
Sujet
Le Havre, histoire urbaine, XVIIe siècle, XIXe siècle, ville portuaire, port, histoire de l'architecture, salubrité, sécurité
Description
Ce volume est la première étude d’ensemble sur les grands travaux d’embellissement de la ville et du port du Havre entrepris au XVIIIe siècle par les ingénieurs des ponts et chaussées.
C’est leur grande œuvre de la fin de l’Ancien Régime, initiée par Louis XV, décidée par Louis XVI, poursuivie pendant le période révolutionnaire et, enfin, terminée dans les années 1830.
Grâce à l’étude et à l’exploitation d’une grande quantité de documents, dont beaucoup d’images, qui sont reproduites dans le volume et en font un livre d’art exceptionnel, l’auteure retrace la longue histoire de l’agrandissement des bassins du port, de la création d’une ville nouvelle et de la construction de bâtiments officiels architecturalement novateurs.
Elle s’intéresse aussi aux transformations importantes relevant de la salubrité, de la commodité et de la sécurité de la ville, en particulier au parcours des eaux, à la création de marchés, au déplacement des cimetières, à l’éclairage et à l’édification de prisons.
Créateur
Aline Lemonnier-Mercier
Source
http://purh.univ-rouen.fr/?q=node/722
Éditeur
Presses universitaires de Rouen et du Havre
Date
2013
Format
306
Langue
FR
Type
Ouvrage
]]>https://crevilles.org/items/show/24998Une conférence-débat présentée par André Guillerme, professeur du Cnam, chaire d'Histoire des techniques.
Intervenante :
Le Paris moderne - Histoire des politiques d'hygiène (1855-1898), Presses universitaires de Rennes, 2010.
"Après avoir travaillé sur l'histoire de la ville du Havre après sa reconstruction...j'ai commencé à cheminer vers les antécédents du XIXe siècle pour essayer de comprendre quand, comment et grâce à quels grands personnages les consciences avaient commencé à s'éveiller pour introduire l'hygiène dans les villes modernes." Fabienne Chevallier
]]>2015-02-06T12:06:35+01:00
Une conférence-débat présentée par André Guillerme, professeur du Cnam, chaire d'Histoire des techniques.
Intervenante :
Le Paris moderne - Histoire des politiques d'hygiène (1855-1898), Presses universitaires de Rennes, 2010.
"Après avoir travaillé sur l'histoire de la ville du Havre après sa reconstruction...j'ai commencé à cheminer vers les antécédents du XIXe siècle pour essayer de comprendre quand, comment et grâce à quels grands personnages les consciences avaient commencé à s'éveiller pour introduire l'hygiène dans les villes modernes." Fabienne Chevallier
]]>https://crevilles.org/items/show/24048Assainir l'agglomération parisienne - Histoire d'une politique publique interdépartementale de l'assainissement (XIXe-XXe siècles)
Présentation par l'éditeur :
Dans un contexte, le nôtre, où l’environnement est affecté par l’impact séculaire de l’urbanisation et de l’industrialisation, l’assainissement de l’agglomération parisienne constitue un sujet d’étude historique de circonstance.
Au tournant des XIXe et XXe siècles, le réseau d’égouts et les champs d’épandage de la capitale, qui s’étendent sur plus de 5 000 hectares, se posent en modèle de la modernité urbaine. En banlieue, une autre réalité offre un spectacle de désolation. La Ville Lumière, étriquée depuis 1860 dans ses 105 kilomètres carrés, est accusée d'y avoir déversé ses immondices. Elle a fait fi de l'indignation des banlieusards sinistrés par la pollution. Elle les a mis devant le fait accompli jusqu'au moment où, enfin, à la veille de la Grande Guerre, elle a accepté de collaborer à l'assainissement de la banlieue.
Les chantiers sont colossaux mais, sous l'autorité des ingénieurs des Ponts et Chaussées et des conseillers généraux du département de la Seine, bienfaiteur financier des cités suburbaines, le programme général d’assainissement de l’agglomération parisienne est lancé au début des années 1930. Le recours à l’épuration biologique conforte les tenants d’une politique pensée dans les limites de l’agglomération parisienne, celles du "Plus Grand Paris". La station d'épuration d'Achères, ouverte en 1940, se veut la clé de voûte gigantesque de cette opération de salubrité qui lie la ville de Paris aux départements et aux communes de la petite et de la grande couronnes. Les conflits Paris/banlieues ont été dépassés. Les politiques de compromis, dictées par la recherche d'une épuration optimale des eaux usées, inventent un cadre d'intervention inédit : l’interdépartementalité.
La pollution se joue des limites administratives. Pour être efficient, le traitement des eaux impose un décloisonnement des frontières communales et départementales. Héritier de l’histoire du Grand Paris, supprimé en 1964, le Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (Siaap) prolonge, dès sa création en 1970, les expériences passées de coopération Paris/banlieues. Son action contribue à la transformation du paysage de l'assainissement francilien qui connaît un âge d'or durant les années 1960-1980 avec la modernisation de la station d'Achères, la plus importante d'Europe, et la mise en service de nouveaux équipements à Noisy-le-Grand et Valenton. Par temps sec, l'essentiel de la production d'eaux usées de plus de huit millions d'habitants est désormais traité.
Publié dans le cadre d’une convention de recherche signée entre le Siaap et l’Université Paris 1, ce livre s’inscrit dans la continuité des travaux de Sabine Barles sur l’histoire des déchets urbains. Cette gouvernance, partagée entre ingénieurs, corps préfectoral et élus parisiens et suburbains, a promu un système métropolitain d'assainissement plus intégré qu'on ne l'imagine. Son histoire éclaire d'un jour nouveau les forces et les défaillances de ce système qui cristallise les enjeux majeurs de cohésion sociale et de protection de l’environnement.
Emmanuel Bellanger, chargé de recherches du CNRS au Centre d'histoire sociale du XXe siècle de l'Université Paris 1, travaille depuis une dizaine d'années sur l'histoire des politiques publiques locales du Grand Paris. Eléonore Pineau est une jeune étudiante qui consacre son master à l'histoire des égoutiers des équipements d'épuration de l'agglomération parisienne.
]]>2015-02-06T12:06:35+01:00
Assainir l'agglomération parisienne - Histoire d'une politique publique interdépartementale de l'assainissement (XIXe-XXe siècles)
Présentation par l'éditeur :
Dans un contexte, le nôtre, où l’environnement est affecté par l’impact séculaire de l’urbanisation et de l’industrialisation, l’assainissement de l’agglomération parisienne constitue un sujet d’étude historique de circonstance.
Au tournant des XIXe et XXe siècles, le réseau d’égouts et les champs d’épandage de la capitale, qui s’étendent sur plus de 5 000 hectares, se posent en modèle de la modernité urbaine. En banlieue, une autre réalité offre un spectacle de désolation. La Ville Lumière, étriquée depuis 1860 dans ses 105 kilomètres carrés, est accusée d'y avoir déversé ses immondices. Elle a fait fi de l'indignation des banlieusards sinistrés par la pollution. Elle les a mis devant le fait accompli jusqu'au moment où, enfin, à la veille de la Grande Guerre, elle a accepté de collaborer à l'assainissement de la banlieue.
Les chantiers sont colossaux mais, sous l'autorité des ingénieurs des Ponts et Chaussées et des conseillers généraux du département de la Seine, bienfaiteur financier des cités suburbaines, le programme général d’assainissement de l’agglomération parisienne est lancé au début des années 1930. Le recours à l’épuration biologique conforte les tenants d’une politique pensée dans les limites de l’agglomération parisienne, celles du "Plus Grand Paris". La station d'épuration d'Achères, ouverte en 1940, se veut la clé de voûte gigantesque de cette opération de salubrité qui lie la ville de Paris aux départements et aux communes de la petite et de la grande couronnes. Les conflits Paris/banlieues ont été dépassés. Les politiques de compromis, dictées par la recherche d'une épuration optimale des eaux usées, inventent un cadre d'intervention inédit : l’interdépartementalité.
La pollution se joue des limites administratives. Pour être efficient, le traitement des eaux impose un décloisonnement des frontières communales et départementales. Héritier de l’histoire du Grand Paris, supprimé en 1964, le Syndicat interdépartemental pour l’assainissement de l’agglomération parisienne (Siaap) prolonge, dès sa création en 1970, les expériences passées de coopération Paris/banlieues. Son action contribue à la transformation du paysage de l'assainissement francilien qui connaît un âge d'or durant les années 1960-1980 avec la modernisation de la station d'Achères, la plus importante d'Europe, et la mise en service de nouveaux équipements à Noisy-le-Grand et Valenton. Par temps sec, l'essentiel de la production d'eaux usées de plus de huit millions d'habitants est désormais traité.
Publié dans le cadre d’une convention de recherche signée entre le Siaap et l’Université Paris 1, ce livre s’inscrit dans la continuité des travaux de Sabine Barles sur l’histoire des déchets urbains. Cette gouvernance, partagée entre ingénieurs, corps préfectoral et élus parisiens et suburbains, a promu un système métropolitain d'assainissement plus intégré qu'on ne l'imagine. Son histoire éclaire d'un jour nouveau les forces et les défaillances de ce système qui cristallise les enjeux majeurs de cohésion sociale et de protection de l’environnement.
Emmanuel Bellanger, chargé de recherches du CNRS au Centre d'histoire sociale du XXe siècle de l'Université Paris 1, travaille depuis une dizaine d'années sur l'histoire des politiques publiques locales du Grand Paris. Eléonore Pineau est une jeune étudiante qui consacre son master à l'histoire des égoutiers des équipements d'épuration de l'agglomération parisienne.
Créateur
Emmanuel Bellanger,
Eléonore Pineau
Éditeur
Editions de l'Atelier
Date
13 janvier 2011
Format
352
Type
Ouvrage
]]>https://crevilles.org/items/show/23870Présentation par l'éditeur :
C’est la question de la modernité qui rassemble les inédits et articles de RHG présentés ici. Elle offre une première lecturedes champs et des méthodes que RHG a ouverts dans le domaine de l’histoire sociale par rapport à la question de la ville moderne, dans des textes dont la qualité scientifique n’altère en rien l’esprit caustique. Objets, instruments, art et architectures, imbriqués dans leurs pratiques et leurs représentations, explicitent leur déploiement par la démocratisation des mœurs.
Au-delà de la démocratisation de l’hygiène et du confort, RHG analyse les modes de raisonnement et de relations qui construisent de nouvelles approches des individus les uns par rapport aux autres et où une nouvelle question apparaît : la diffusion de l’idée du bien-être pour tous n’est-elle pas débordée par une insatiable course au bonheur…
Textes rares et inédits choisis et présentés par Ginette Baty-Tornikian.
Roger-Henri Guerrand (1923-2006) est un historien, spécialiste de l'histoire de la vie quotidienne en milieu urbain.
]]>2015-02-06T12:06:35+01:00
C’est la question de la modernité qui rassemble les inédits et articles de RHG présentés ici. Elle offre une première lecturedes champs et des méthodes que RHG a ouverts dans le domaine de l’histoire sociale par rapport à la question de la ville moderne, dans des textes dont la qualité scientifique n’altère en rien l’esprit caustique. Objets, instruments, art et architectures, imbriqués dans leurs pratiques et leurs représentations, explicitent leur déploiement par la démocratisation des mœurs.
Au-delà de la démocratisation de l’hygiène et du confort, RHG analyse les modes de raisonnement et de relations qui construisent de nouvelles approches des individus les uns par rapport aux autres et où une nouvelle question apparaît : la diffusion de l’idée du bien-être pour tous n’est-elle pas débordée par une insatiable course au bonheur…
Textes rares et inédits choisis et présentés par Ginette Baty-Tornikian.
Roger-Henri Guerrand (1923-2006) est un historien, spécialiste de l'histoire de la vie quotidienne en milieu urbain.