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Titre
Sociologie de l'habitat contemporain. Vivre l'architecture
Sujet
sociologie de l'habitat, sociologie de l'espace, appropriation, logement, espace physique, ordre social
Description
L’étroite corrélation entre espace physique et ordre social a été repérée dès les premières heures de la sociologie et
de l’anthropologie comme une clé de lecture essentielle des sociétés humaines. De la sociologie durkheimienne
aux approches structuraliste et marxiste en passant par l’école de Chicago, chaque courant a développé ses propres outils conceptuels pour décrypter la dimension sociale du double champ de l’espace public et de l’habitat. De même, la sociologie française des années soixante-dix, témoin d’incontestables et profonds changements en matière de composition urbaine et de logement (collectif et individuel), a réaffirmé la spécificité de ce qui sera désigné sous le terme de « sociologie de l’habitat ».
Aujourd’hui que les modèles référents de la maison individuelle et du grand ensemble (tour, barre) cèdent peu à peu le terrain aux résidences sécurisées et à de nouvelles formes hybrides de logement, la sociologie de l’habitat appelle un renouveau.
Inscrit au coeur de ce nouveau contexte, cet ouvrage‑bilan, centré sur les pratiques, présente tout à la fois une part de la capitalisation théorique et méthodologique de la discipline, et énonce en la développant une théorie de l’appropriation. Il a été conçu comme un manuel à l’usage de tous ceux qui, toutes disciplines confondues, s’intéressent aux questions de l’habitat.
Professeur de sociologie à l’École nationale supérieure d’architecture et de paysage (Ensap) de Bordeaux, Guy Tapie dirige Profession, Architecture, Ville et Environnement (Pave), un laboratoire des écoles d’architecture associé au Centre Émile Durkheim (laboratoire de recherche en science politique et sociologie comparatives, cnrs). Ses travaux portent sur la production de l’habitat, la fabrication de la ville et les questions d’architecture dans la société contemporaine.
de l’anthropologie comme une clé de lecture essentielle des sociétés humaines. De la sociologie durkheimienne
aux approches structuraliste et marxiste en passant par l’école de Chicago, chaque courant a développé ses propres outils conceptuels pour décrypter la dimension sociale du double champ de l’espace public et de l’habitat. De même, la sociologie française des années soixante-dix, témoin d’incontestables et profonds changements en matière de composition urbaine et de logement (collectif et individuel), a réaffirmé la spécificité de ce qui sera désigné sous le terme de « sociologie de l’habitat ».
Aujourd’hui que les modèles référents de la maison individuelle et du grand ensemble (tour, barre) cèdent peu à peu le terrain aux résidences sécurisées et à de nouvelles formes hybrides de logement, la sociologie de l’habitat appelle un renouveau.
Inscrit au coeur de ce nouveau contexte, cet ouvrage‑bilan, centré sur les pratiques, présente tout à la fois une part de la capitalisation théorique et méthodologique de la discipline, et énonce en la développant une théorie de l’appropriation. Il a été conçu comme un manuel à l’usage de tous ceux qui, toutes disciplines confondues, s’intéressent aux questions de l’habitat.
Professeur de sociologie à l’École nationale supérieure d’architecture et de paysage (Ensap) de Bordeaux, Guy Tapie dirige Profession, Architecture, Ville et Environnement (Pave), un laboratoire des écoles d’architecture associé au Centre Émile Durkheim (laboratoire de recherche en science politique et sociologie comparatives, cnrs). Ses travaux portent sur la production de l’habitat, la fabrication de la ville et les questions d’architecture dans la société contemporaine.
Créateur
Guy Tapie
Source
http://www.editionsparentheses.com/
Éditeur
Editions Parenthèses
Date
2014
Format
240
Langue
FR
Type
Ouvrage