Dublin Core
Titre
Marcher
Sujet
Marcher, urbanisme, paquot, marche, marcheur, pédestre
Description
Cette livraison de la revue Urbanisme propose un dossier sur la marche en ville, avec notamment des contributions de Jean-Marc Offner (Trente ans de pas perdus !), Sonia Lavadinho et Yves Winkin (Du marcheur urbain), Sonia Lavadinho (dossier sur Genève), Bengt Kayser (La santé en marchant ?), Jacques Lévy (Ville pédestre, ville rapide), Georges Amar et Véronique Michaud (Le piéton métropolitain), Jean-Paul Thibaud (Je – tu – il, la marche aux trois personnes), Sonia Lavadinho (Chemins de traverse et lignes de désir, L’Europe en marche !) ainsi que de Jean-Pierre Charbonneau (Confort urbain et intensité poétique).
Extrait de l'éditorial de Thierry Paquot :
"La marche est révélatrice d’espaces, cela n’a pas échappé aux artistes qui utilisent les lieux comme “matière première” de leurs inspirations, leurs installations, leurs cheminements créatifs. La marche énonce les lieux, chaque pas épelle un morceau de territoire, chaque itinéraire épouse le phrasé de la ville. Le marcheur est un révélateur de sens (signification et direction), un diseur d’aventures urbaines. Qu’on ne l’encadre pas trop, qu’on ne l’équipe pas d’innombrables prothèses technologiques censées améliorer son rythme, baliser sa route, optimiser ses forces ! Non, le marcheur éprouve la ville à la mesure de son corps. Cette expérience sensorielle intime irremplaçable atteste sa singularité."
Extrait de l'éditorial de Thierry Paquot :
"La marche est révélatrice d’espaces, cela n’a pas échappé aux artistes qui utilisent les lieux comme “matière première” de leurs inspirations, leurs installations, leurs cheminements créatifs. La marche énonce les lieux, chaque pas épelle un morceau de territoire, chaque itinéraire épouse le phrasé de la ville. Le marcheur est un révélateur de sens (signification et direction), un diseur d’aventures urbaines. Qu’on ne l’encadre pas trop, qu’on ne l’équipe pas d’innombrables prothèses technologiques censées améliorer son rythme, baliser sa route, optimiser ses forces ! Non, le marcheur éprouve la ville à la mesure de son corps. Cette expérience sensorielle intime irremplaçable atteste sa singularité."