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Titre
Les bâtisseurs
Sujet
histoire de l'architecture, architecture moderne, XXe siècle, chantiers, exposition universelle de 1937, CGT, villes socialistes, villes communistes, Le Corbusier, Auguste Perret
Description
Un film de Jean Epstein (1938).
De la cathédrale de Chartres à l'Exposition Universelle de 1937, l'histoire du bâtiment présentée par la C.G.T.. Ce documentaire syndical est aussi un hymne à la modernité architecturale mariant lumière et béton, un plaidoyer pour des réalisations répondant aux besoin des collectivités, et une apologie du travail, même du travail le plus dur. Il débute par le dialogue écrit de deux ouvriers du bâtiment (interprétés par deux chômeurs de la profession) qui situent didactiquement, du haut d'un échafaudage de la cathédrale de Chartres, le rôle et l'importance du bâtiment dans l'histoire de France. Il s'achève par les prises de paroles successives des dirigeants des différents corps de métiers composant la fédération syndicale. Cette longue séquence finale est entrecoupée ou illustrée par des plans de chantiers et elle se termine par la vue d'une manifestation parisienne.
La visite de l'Exposition universelle donne lieu à une série de champs-contre-champs sur le pavillon soviétique et sur le pavillon allemand, pour s'achever, symboliquement, par un plan sur le pavillon soviétique.
Les exemples de bâtiments collectifs modernes (présentés comme solutions à l'insalubrité, à la tuberculose, à la crise du logement et au fléau du chômage sévissant dans la profession) sont principalement situés dans la banlieue sud de Paris, tant dans des villes à directions socialistes que dans les villes à directions communistes.
Le film présente de plus d'intéressantes et rares interviews d'architectes (Le Corbusier et surtout Auguste Perret).
De la cathédrale de Chartres à l'Exposition Universelle de 1937, l'histoire du bâtiment présentée par la C.G.T.. Ce documentaire syndical est aussi un hymne à la modernité architecturale mariant lumière et béton, un plaidoyer pour des réalisations répondant aux besoin des collectivités, et une apologie du travail, même du travail le plus dur. Il débute par le dialogue écrit de deux ouvriers du bâtiment (interprétés par deux chômeurs de la profession) qui situent didactiquement, du haut d'un échafaudage de la cathédrale de Chartres, le rôle et l'importance du bâtiment dans l'histoire de France. Il s'achève par les prises de paroles successives des dirigeants des différents corps de métiers composant la fédération syndicale. Cette longue séquence finale est entrecoupée ou illustrée par des plans de chantiers et elle se termine par la vue d'une manifestation parisienne.
La visite de l'Exposition universelle donne lieu à une série de champs-contre-champs sur le pavillon soviétique et sur le pavillon allemand, pour s'achever, symboliquement, par un plan sur le pavillon soviétique.
Les exemples de bâtiments collectifs modernes (présentés comme solutions à l'insalubrité, à la tuberculose, à la crise du logement et au fléau du chômage sévissant dans la profession) sont principalement situés dans la banlieue sud de Paris, tant dans des villes à directions socialistes que dans les villes à directions communistes.
Le film présente de plus d'intéressantes et rares interviews d'architectes (Le Corbusier et surtout Auguste Perret).
Créateur
Jean Epstein
Source
http://www.cinearchives.org/Catalogue_d_exploitation_BATISSEURS__LES_-494-53-0-1.html?ref=92b75c8eb9df58f1419545c6a0567836
Éditeur
Ciné-archives
Date
1938
Format
00:48:00
Langue
FR
Type
Film